

Par Francis Rosenstiel
La situation internationale ressemble de plus en plus à ces "compressions" qui firent la célébrité du peintre français, César
Un amalgame où tout s'imbrique et seules quelques couleurs vives émergent, soulignant ainsi le rôle de telle ou telle « super-puissance ».
Il semble que la « mondialisation » souvent évoquée, entraîne aujourd'hui une « pesanteur » des phénomènes négatifs, dont la crise financière et économique n'est qu'un déclencheur particulièrement révélateur. « Compression » ne doit pas, pour autant, mener à « explosion » !
Cela n'est pas un livre d'images mais un cauchemar vécu.