chaque jour que tu passes avec moi, a sourire sans savoir rire sans cesser de repeter:bouge, lance toi une autre fois, tu insiste.une fois, j'ai eu le meilleur , sans le vouloir, ma chance m'est apparue.une tromperie, un oubli,furent ma trahison. et maintenant, tu viens a moi avec ta voix et ton âme grise. pauvre malheureux que sais tu de moi?
non, pas de lamentation, ni de pardon en plus de la douleurje suis devouée a l'illusion, et en toi, il y a seulement de l'avidité et la lutte pour gagner, tu la feras de même.
maintenant, ja n'ai pas l'ambition d'être ce que je veux, c'est commencer a voir continuer a être ce que j'ai toujours étéoublier, decider, respirer, tu comprends.je sais que c'est difficile d'éffacertant de temps sans pouvoir parler en repandant des penséestoute ma vérité. je ne voudrais pas tomber en luttantseule avec ma foi et enfouir ton orgueil
refrain