Domaine public
Prénoms : Jean-Claude, Camille, François.
Nom : Van Vaerenbergh, alias Van Damme.
Nationalité : Belge.
Date et lieu de naissance : 18 octobre 1960 à Berchem-Sainte-Agathe, une des communes de la région de Bruxelles.
Signe astrologique : Balance (effectivement il a balancé beaucoup de trucs dans sa vie, au sens propre comme au figuré… par contre il n’a pas toujours été équilibré).
Profession : acteur, karatéka et philosophe.
Trêve de bavardage dans cette article, car celui qui parle le mieux de Jean-Claude Van Damme, c’est « JCVD » lui-même.
Avant de vous laisser savourer sa plus belle prose, sachez cependant que l’une des plus grandes stars du kitsch de tous les temps (j’ajouterai même « de tous l’univers ») s’intéressait à la musique classique, à la peinture et même au curling dans sa jeunesse, avant que le karaté n’entre dans sa vie à 11 ans. Il n’a en revanche jamais décroché de titre dans cette discipline.
Il est parti s’installer au Etats-Unis avec 2000 $ en poche en 1982.
Il a posé de la moquette, livré des pizzas… avant d’exploser en 1988 dans “Blood sport, tous les coups sont permis”. S’en est suivi un tas de productions cinématographiques, dont la plupart sont à classer dans la catégorie « brutal,simplet et involontairement comique ».
Vous pourrez retrouver un résumé de sa vie étonnante dans les quelques liens que j’ai sélectionné ci-dessous :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_claude_van_damme
http://www.allocine.fr
Sans oublier son site officiel http://www.jeanclaudevandamme.be/ et les très nombreux sites de fans.
Grandes phrases :
Place à l’artiste… attention, vaut mieux avoir trois-quatre notions d’anglais.
- « Quand tu prends confiance en la confiance, tu deviens confiant »
- « Je crois au moment. S’il n’y a pas le moment, à ce moment-là, il faut arriver à ce moment-là, au moment qu’on veut »
- « Mes autres prénoms sont Camille et François. J’aime bien Camille, non ? Ça fait old fashion, tu trouves pas ? Ca respire le meuble de Provence ! »
- « Moi, Adam et Eve, j’y crois plus tu vois, parce que je suis pas un idiot. La pomme, ça peut pas être mauvais, c’est plein de pectine »
- « Une noisette, j’la casse entre mes fesses tu vois »
- « Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S’il y a quatre personnes autour de toi et qu’elles te semblent normales, c’est pas bon »
- « Si tu es très près de Dieu, tu peux avoir une certaine communication. Je ne parle pas d’un téléphone : je parle d’une certaine spiritualité »
- « Si tu téléphones à une voyante et qu’elle ne décroche pas avant que ça sonne, raccroche »
- « Si tu travailles avec un marteau-piqueur pendant un tremblement de terre, désynchronise-toi sinon tu travailles pour rien »
- « La coke… La coke… Y a pas plus merdique que la coke, ok ? Ça arrête la tête, ça te fout tout en l’air hein. On sait pas ce qu’on dit, on sait pas ce qu’on fait, ok ?
[...] La coke faut pas toucher c’est de la merde. J’ai essayé moi de la battre. On peut pas la battre. Alors elle devient, quand on la connaît, elle devient un compagnon qu’on touche pas. Je suis allergique à la coke, c’est très simple. Et c’est pour ça que je sais parler maintenant, je suis en forme, j’ai peur de personne, je suis fort dans les yeux, parce que j’ai pas de coke tu vois ?
Bon je parle un peu vite. C’est pas un problème non si je suis rapide.
Ch’uis un mec qu’est rapide. Je suis speed, pourquoi ? Je mange que des légumes. »
- « Mon modèle : c’est moi-même. Je suis mon meilleur modèle parce que je connais mes erreurs, mes qualités, mes victoires et mes défaites. Si je passe mon temps à prendre un autre modèle comme modèle, comment veux-tu que ce modèle puisse modeler dans la bonne ligne ? »
- « Je suis fasciné par l’air. Si on enlevait l’air du ciel, tous les oiseaux tomberaient par terre… et les avions aussi.
En même temps, l’air tu peux pas le toucher. Ça existe et ça existe pas. Ça nourrit l’homme sans qu’il ait faim. It’s magic…
L’air c’est beau. En même temps tu peux pas le voir. C’est doux et tu peux pas le toucher… L’air c’est un peu comme mon cerveau »
Kitty et Jean-Claude Van Damme
(rendons à César, ce qui appartient à César)