On parle beaucoup du technostress, du harcèlement informationnel, du déficit de concentration dû à une atomisation de l’attention… ce sont les maladies chroniques dont la RH et la communication interne auraient intérêt à se préoccuper. Dans le même temps, nombre de salariés se plaignent toujours d’être sous informés.
A ce sujet, la conférence Picnic08 (http://www.picnicnetwork.org/) a donné une intéressante définition des caractéristiques-clés d’une slow communication, entre autres :
-favorisant l’intimité,
-inscrite dans la tradition,
-communautaire,
-personnalisée,
-humaine,
-saine (au sens de santé),
-etc…
Visiblement, le sujet de la communication interne risque de s'articuler de plus en plus autour de cette question: Comment aménager des plages de communication lente, posée, nourrissante , bref comment gérer le tempo?