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Ce fut Genesis à Lyon

Par Dindiu @Din_Diu

Ca fait déjà 4 jours, laissez-moi le temps de m'en remettre ...

Enfin, j'ai pu assister à un concert de Genesis. Ce jeudi 12 juillet 2007, commencé à 20h30 précise, le concert durera 2h45 sans interruption. Le stade de Gerland est plein. Le lendemain j'apprends qu'il y avait 31 000 spectateurs (soit 6000 de plus que pour le concert des Rolling Stones).

C'était vraiment un superbe show. 5 sur scène, comme d'hab' on pourrait presque dire : Phil Collins , chanteur et batteur, Mike Rutherford à la gratte (même pour certaines chansons il y avait celle au deux manches), Tony Banks au clavier, Daryl Stuermer à la guitare et Chester Thompson à l'autre batterie.

Franchement, j'en ai eu largement pour mon argent. Le seul regret, c'est de n'avoir pas eu beaucoup de chansons de l'époque Peter Gabriel.

Histoire de mettre tout de suite le public dans le bain, le premier morceau est un medley. Il commence avec Behind the lines ...

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... se poursuit avec Duke's end, ...
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... et finit avec Turn it on again.

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Pour Land of confusion, les visages des marionnettes de Spitting Image (qui figuraient dans le clip) laissent la place aux vrais.

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Pour mon plus grand plaisir, vint le medley qui commence par In the cage. Sur l'écran géant, un personnage de synthèse court vers des barreaux, se brise dessus puis ses fragments se  rejoignent derrière.

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Home by the sea, l'occasion de voir d'une part Phil Collins faire le fantôme, et d'autre part des animations sympa sur l'écran géant.

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Firth of fifth, avec le solo de Daryl Stuermer ...

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... enchaîne avec I know what you like, moment de nostalgie pendant lequel défile des images d'archives (on reconnait Rutherford, Hacket et Gabriel) ...

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... ainsi qu'une vidéo en particulier, celle où un Phil Collins de l'époque jongle avec un tambourin, tandis que le Phil Collins d'aujourd'hui en fait tout autant sur scène.

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Ripples, no comment.

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Pendant Throwing it all away, la foule est filmée et se retrouve sur écran géant ... et parfois en gros plan. D'où une mise en abîme : la caméra filme une jeune femme en train de filmer le concert avec son téléphone portable, et donc elle se filme elle-même en train de filmer ...

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De bons moments ont passé. Phil Collins explique l'effet Domino en jouant avec la foule ; le Drum Duet, le duo de batterie entre Phil et Chester, duo qui commence sur un tabouret ; Invisible Touch finit avec des feux de Bingale. C'est justement cela qui amène le faux rappel puisque de toute façon encore deux chansons dont I can't dance, sont prévues.

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23h15 fin du concert, les oreilles dans du coton ...


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