Du métro kikoolol

Hier soir il m’est arrivé ce que tout être normalement constitué et surtout féminin connait.

Mise en situation : RER B (pour celles et ceux qui ne connaissent pas, c’est un mélange de train-métro). 23 h.

La rame est bondée, il fait 70° donc c’est super sympa, chaleureux et cosy.

Et là un type me colle.

Dilemme : me colle-t-il parce qu’on est 500 dans 3 m² ou pour autre chose ?

J’opère un repli stratégie.

Et là il me recolle. Voire il a sa jambe sur la mienne.

Doute ; suis je en train de faire une crise de parano totale ou pas ?

Question ; dois je dire à ce bâtard de chacal en rut d’aller finir sa vie dans la cage de lions affamés depuis 15 jours cet homme éprouvé par la vie de me laisser respirer ?

J’ai opté pour la deuxième solution et ca n’était pas gagné.
Sachant que
1. il a instantanément fait un bond de crapaud en arrière
2. il avait la place de le faire
3. il est sorti à la station suivante

je pense que j’ai été trop soft.

Là où l’histoire commence à vraiment puer… c’est que quand je raconte cette histoire à mes collègues, toutes ont une histoire similaire. Je le savais déjà … mais chaque fois ca a le don de m’exaspérer.