Privée de toute connexion internet pendant un temps qui s’annonce long, je stocke les notes dans les tréfonds du disque dur et vous les envoie au hasard de mes nomadisations wi-fi.
Mercredi 1er octobre
Le téléphone est dans l’escalier
Cette note pourrait, et aurait même du, s’appeler “un jour mon web viendra”. Parce-que ça y est enfin, après deux mois d’une patience mêlée de colère, on a le téléphone. Si. Depuis hier. C’est pas beau, ça ? Dans un comm’ (non encore validé, because je n’ai disposé que de quelques minutes de connexion aujourd’hui, dans un lieu tenu secret, mais au moins je rafle les mails), dans un comm’, donc, d’Annie-Claude, il était justement question de cette connexion : rassure-toi chère collègue et amie, ce n’est pas l’adsl qui pose problème (ce n’est en théorie qu’une affaire de quelques jours), mais bien la ligne elle-même, qui n’existait pas. Zéro fil de téléphone tout bête. A 4 km du centre de Bordeaux.
Je me dis qu’une vie bloguesque normale va pouvoir probablement reprendre, avec les collections du mercredi, les photos bien propres et pas en brouillon (c’était fait exprès, Océane, pour montrer que ça n’allait pas bien comme il faut dans mon cybermonde), des jeux avec leurs réponses moins de quinze jours après, et toutes ces sortes de choses. Et puis aussi , mais seulement quand j’aurai un peu de temps, une fusion-relookage des boîtes à images laissées en jachère depuis juillet.
Je reviens à mes moutons, ou plutôt au titre : le téléphone est dans l’escalier, avec le routeur ouifi qui clignote comme un malade, mais en vain, parce-qu’il a fallu connecter le tout à la prise-test de l’armoire électrique (coup de chance qu’elle ne soit pas dans le garage !) : et oui, un gag n’arrivant jamais seul, aucune prise téléphonique de la maison n’est reliée au réseau. Elle est pas drôle, la vie ? Y’a des prises, y’a des fils avec des jolies couleurs (tu vas voir que je vais me mettre à la broderie !), mais aucun lien entre ces meeeeeerveilleux éléments. M’en tape : on passe le ouikennde au Pays-Basque (ça doit être pour ça qu’il commence à pleuvoir), et, avec un peu de chance, je surferai de mon home sweet home dès lundi. Bye !
PS : Jeudi, 10 h 53, internet fonctionne et je vous poste ce message depuis mon petit bureau perso. Yesssss !
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