J’ai souvent entendu des dirigeants se lamenter : ” Ma société est largement sous évaluée… Nous aurons pourtant cette année un bénéfice net en hausse de X %… Nous serons un rien au dessus de la cible imposée par les analystes financiers… Et malgré ces paramètres positifs, la valeur de l’action ne correspond pas à la réalité.”
Le problème, c’est que dans l’époque hautement médiatisée où nous performons, la réalité ne compte pas. Seule compte la perception de la réalité.
En fait, ce qui peut à première vue vous apparaître comme étant une mauvaise nouvelle est en réalité une bonne nouvelle.
Car la perception est un paramètre qui peut être géré.
C’est vrai en Bourse. C’est vrai en politique. C’est vrai en marketing…
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