Semi-marathon du Grand Nancy : bye, bye les 1h30 !

1h34 et des secondes. Assez loin des 90 minutes que je m’étais secrètement fixées à franchir, ou à approcher avant mes 40 ans. J’avais déjà réussi à effacer les 3h30 sur marathon mais là, à la veille de ces fameux 40 ans, c’est raté ! Toutefois pas vraiment de regrets car je n’avais pas fait une préparation spécifique pour cette course. Je partais un peu vers l’inconnu.

Nous étions donc 1512 à prendre le départ (je tiens ce chiffre d’Olivier, l’un des 2 spekears et ancien collègue de bureau) rue Stanislas (et non plus au parc des sport de Vandoeuvre comme ce fut le cas l’année dernière). Temps un peu frais mais dès les premiers kilomètres parcourus la température était assez agréable malgré le vent qui s’est invité sur certaines lignes droites.
Parcours tout nouveau, et très sympathique, pour cette seconde édition. Je passe le 10ème kilomètre en 43 minutes avec en point de mire le meneur d’allure des 1h30. J’arrive au 15ème après 66 minutes de course. Tout va un peu près bien jusqu’au 19ème kilomètre où la légère montée vers le viaduc Louis Marin (la fameuse Vebe) fait très mal aux jambes. Le reste du parcours est une longue ligne droite le long de la pépinière, puis la grande rue Sainte-Catherine avant le passage sur la place Stanislas et le franchissement de l’arrivée pile poil sous l’Arc Héré.

Rien à redire du côté organisation. Le retrait des dossards sous un grand chapiteau chauffé fut vraiment un plus en ce matin frais en Lorraine. J'ai toutefois été surpris de trouver, à disposition des coureurs qui s'inscrivaient ce matin (c'était mon cas), une décharge à signer pour absence de certificat médical. C'est la première fois que je vois cela sur une course.
Les résultats sont disponibles sur le site de l'ASPTT.

Podium :
Nicolas MANZA - 1h01'21"
Musou MWANZIA - 1h03'48"
Patrick KORIR - 1h03'50"

PS : j’ai loupé Manu de Wanarun (qui, au passage, fête ses 2 ans - bon anniversaire et longue vie à Wanarun). Désolé Manu mais je n’ai pas eu l’occasion de relever mon mail ce matin où tu m’invitais pour une petite causerie d’avant course