Il y a gros à parier que les gros requins sont entrain de bouffer les petits, ce qui signifie qu'on va tout droit vers des monopoles encore plus durs à contrôler que la profusion des mini profiteurs de tous poils.
Après la bulle Internet, c'est la bulle subprimes qui éclate. Après avoir généré quelque 2000 milliards rien qu'en commission diverses.
Pour l'heure, c'est la panique, le chacun pour soi, le sentiment d'être sur le Titanic. Le président lui-même nous fout la pétoche.
Et pourtant tout finira bien, surtout pour les plus gros. Pendant ce temps 66 % des français placent actuellement
le chômage en tête de leurs préoccupations, sans faire cas de cette bonne nouvelle :
le parachute doré des pauvres passera royalement à 220 euros à Noël.