Quelques définitions sur le SaaS (Software As a service ou on-demand)

Pourquoi parler de SaaS sur ce Blog ?
Et bien tout simplement parce que cela nous intéresse et que ce modèle nous semble très prometteur en ce qui concerne les outils de prestations intellectuelles.

Qu’est-ce qu’un SaaS ? C’est un progiciel intégrant des services, qui évolue selon les demandes et les besoins de chaque client, disponible en ASP sur Internet. Un véritable SaaS « pure player » est un progiciel multi-entreprises écrit spécifiquement pour être accessible de façon native à partir d’un simple navigateur Internet, sans aucun logiciel ajouté sur le microordinateur.

Il est web hébergé chez un Fournisseur d’Applications Hébergées (FAH) sous la forme d’une application centrale, à laquelle accèdent toutes ses entreprises clientes via Internet. Chacun se connecte à Internet, souscrit un abonnement, l’utilise à la demande depuis n’importe quel PC ou PDA connecté, et s’inscrit à des services complémentaires à la carte en cas de besoin. Il s’agit donc d’une plate forme modulaire adaptée au processus métier qui, sauf à de très rares exceptions, ne fonctionne pas de façon autonome en mode déconnecté.

« Etude sur les ASP et SaaS France ». © compuBase 2008

SaaS vs. ASP

SaaS solutions are very different from ASP (Application Service Provider) solutions. There are three main reasons for this.

1. ASP applications are traditional single-tenant applications but hosted by a third party. They are client-server applications with HTML front ends added to allow remote access to the application.

2. The applications are hosted by third-parties who ordinarily do not have specific application expertise.

3. The applications are not written as net-native applications. As a result, the performance may be poor and application updates are no better than self-managed premise-base applications.

By comparison, SaaS applications are multi-tenant applications, hosted by a vendor that has all the application expertise and they have been designed as net-native applications that get updated on an on-going basis

« A Comprehensive Look at the Total Cost of Ownership of Software Applications». © Software & Information Industry Association (SIIA)

éussi à prendre le cliché de justesse. Après coup, Simonon déclare en rigolant qu’il aurait mieux fait de détruire la moins bonne de ses basses au lieu de sa Fender blanche préférée. Tu m’étonnes.
Par ailleurs, London Calling devait s’appeler The Last Testament, qui signifiait le dernier véritable album de rock’n’roll. Mais London Calling, c’est tout aussi bien, non ?