Magazine

Maintenir les 35 heures en les remettant en cause...

Publié le 20 mai 2008 par Pguillery

En quelques mots précis, Pierre-Luc Séguillon met le doigt sur les incohérences du mode de "réforme" de nos élites politiques actuelles (droite et gauche confondues). A propos de la loi TEPA, le "cadeau fiscal", hors de savoir si elle est "efficace" ou pas :

On peut se demander s’il était opportun d’accorder des allègements de charges aux entreprises pour contourner le problème des trente cinq heures en rendant attrayant l’usage des heures supplémentaires - tout en continuant à leur accorder des allègements pour la mise en œuvre des trente cinq heures. Ce qui revient paradoxalement à aider deux fois les entreprises pour maintenir  théoriquement les trente-cinq heures et néanmoins pour pratiquement les remettre en cause.

Le 20 mai, Pierre-Luc Séguillon en remet une couche...

35 heures: le piège !

Les dissonances au sujet des trente cinq heures entre Patrick Devedjian,  secrétaire général de l’UMP, qui a appelé à la fin de la durée légale du travail, Jean-Pierre Raffarin qui a martelé qu’on ne devait pas  toucher à la durée légale du travail  et Xavier Bertrand qui a recadré les uns et les autres… ces dissonances  sont le fruit de la contradiction dans laquelle est désormais enfermée la droite.

La requête de Patrick Devedjian est en effet parfaitement logique d’un point de vue théorique . La droite n’a cessé de combattre les trente-cinq heures, instaurées par le gouvernement Jospin et  qualifiées par le député UMP Frédéric Lefebvre comme «  la plus grave erreur économique qui ait été jamais commise en France ».  Cette demande est également logique d’un point de vue politique. Nicolas Sarkozy prétend en effet hâter les réformes et la libéralisation de l’économie et cherche visiblement à se positionner dans un rapport de forces droite gauche.

Mais cette demande est, dans la pratique, quasiment irréalisable  sauf à remettre en cause le dispositif des heures supplémentaires dont Nicolas Sarkozy a fait la mesure phare de son « travailler plus pour gagner plus ! » Que s’est-il passé dans la réalité en effet ? Paradoxalement c’est la droite qui a généralisé les trente-cinq heures pour que toutes les entreprises y compris les PME obéissent à la même durée légale.

L’Etat continue donc aujourd’hui à alléger les charges des entreprises pour favoriser le passage aux trente-cinq heures. Soit un coût évalué pour les Finances publiques de 10 à 15 milliards d’euros.  Dans le même temps, la droite a institué le système des heures supplémentaires défiscalisés et détaxées afin d’encourager les salariés à travailler davantage. Le coût supplémentaire pour l’Etat est de quelque 5 milliards d’euros.

Nous arrivons donc à cette situation ubuesque : dans les faits, c’est la droite qui a généralisé les trente-cinq heures. Elle continue de les financer mais finance également leur contournement ! Le nombre d’heures supplémentaires en est d’autant accru. Ce qui est avéré. Mais le nombre d’heures travaillées demeure stable ce qui est également prouvé.

On marche donc sur la tête. Toutefois revenir sur cette situation absurde serait remettre en cause les allègements de charges accordées aux entreprises et mettre en péril le dispositif des heures supplémentaires. Ce serait donc pour la droite risquer de s’attirer les foudres des entreprises et du Medef qui entend conserver les avantages des allègements de charge qui abaissent le coup du travail,  des salariés qui n’entendent pas perdre le bénéfice d’heures supplémentaires payées plus chères et néanmoins défiscalisée, et des organisations syndicales qui récusent toute abolition de la durée légale du temps de travail.  Cela fait beaucoup pour un seul gouvernement !

état de repérage au sonar d'objets sous-marins se déplaçant à très haute vitesse. Les techniciens en hydroacoustique "entendaient" d'étrange "cibles" à grande profondeur. Leurs sous-marins étaient en fait suivis par d'autres "sous-marins". Les poursuivants modifiaient à volonté leurs vitesses et celles-ci étaient de très loin supérieures à tout ce que pouvait atteindre n'importe quel autre vaisseau au monde. Le lieutenant-colonel Oleg Sokolov informa ses étudiants que, dans les années 1960, tandis qu'il était en service comme navigateur à bord de son sous-marin, il avait observé, par son périscope, un objet étrange sortir de l'eau et décoller. Le professeur Korsakov de l'Université d'Odessa, rapporta que, dans les années 1950, des officiers soviétiques de la base navale de Sevastopol avaient observé et photographié, en mer Noire, un OVNI qui s'élevait de derrière un croiseur de bataille.En août 1965, l'équipage du vapeur Raduga qui naviguait en mer Rouge aperçut une sphère flamboyante qui jaillit hors de l'eau. Tandis que la sphère s'éleva de la mer, elle créa un énorme pillier d'eau qui monta de la surface et s'effondra quelques instants plus tard. La sphère avait un diamètre de 60 m, elle plana à 150 m au dessus du navire en illuminant l'océan.En décembre 1977, non loin de l'île de Géorgie du Sud, l'équipage du chalutier Vasily Kiselev observa un objet de forme torique montant de la mer. Son diamètre se situait entre 300 et 500 m et il provoqua l'arrêt du radar de bord. L'objet survola la région pendant trois heures, puis disparut soudainement.En juin 1984, le matelot Alexandre G. Globa était en Méditerranée à bord du pétrolier Gori, à 20 miles du détroit de Gibraltar. A 16h00, Globa était de quart auprès du premier officier S. Bolotov lorsqu'ils observèrent un objet polychrome étrange. Passé sur l'arrière, l'objet s'immobilisa brusquement. Très excité, Bolotov secouait ses jumelles en hurlant :"c'est une soucoupe volante, une vraie, mon Dieu ! regardez, vite, vite !" Regardant à travers ses jumelles; Globa vit, vers l'arrière, un onjet assez plat qui ressemblait à une poêle à frire à l'envers. L'OVNI brillait de reflets gris mettaliques. La partie inférieure avait une forme ronde, nette, d'environ 20 m de diamètre. Tout autour de la base de cette partie, Globa observa des protubérances "ondoyantes" sur la paroi. Le corps de l'objet était constitué de deux demi disques, le plus petit étant au dessus, qui tournaient lentement en sens opposés. A la circonférence du disque inférieur, Globa aperçut un grand nombre de points brillants comme des perles de lumière. La partie inférieure de l'OVNI semblait régulière et lisse, de couleur jaune d'oeuf, et au centre Globa discerna la trace d'une sorte de tuyau circulaire. Au bord du fond de l'OVNI, apparaissait nettement une sorte de tuyau qui brillait d'une lueur rosée, étrangement brillante, comme un tube au néon. Le dessus du disque médian était couronné de quelque chose de triangulaire qui semblait en mouvement dans le même sens que le disque inférieur, mais beaucoup plus lentement. [NDT : la description d'origine manque de cohérence, nous nous sommes efforcés de la rendre aussi claire que possible]. Brusquement, l'OVNI sauta plusieurs fois, comme soulevé par une vague invisible. De nombreuses lumières illuminèrent sa partie inférieure. L'équipage du Gori essaya d'attirer son attention à l'aide d'un projecteur de signalisation [NDT : une lampe Aldis]. Entre temps, le capitaine Sokolovsky était arrivé sur le pont avec tous les hommes ; le premier officier et lui observaient l'objet avec concentration. Cependant, l'OVNI fut apparemment dérangé par un autre navire qui approchait par bâbord, c'était un vraquier arabe en route vers la Grèce. Les arabes confirmèrent que l'objet avait survolé leur navire. Une minute et demi plus tard, l'objet changea de trajectoire, s'inclina sur la gauche, accéléra et monta rapidement. Les marins soviétiques observèrent qu'en apparaissant et disparaissant tandis qi'ils traversait les nuages, il brillait par moments au soleil. Alors l'OVNI s'embrasa comme une étincelle et disparut instantanément.

Retour à La Une de Logo Paperblog