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Yves Rocher se lance dans l'hotellerie luxueuse et respecueuse

Publié le 13 octobre 2008 par Jérémy Dumont

Début 2009 sera inauguré le premier Eco-Hôtel spa d’Yves Rocher en plein cœur de la Bretagne, près de La Gacilly, où la marque a vu le jour en 1959. La rédaction d’abc-luxe a décidé d’en savoir un peu plus sur le sujet.
Une marque engagée et militante
Marque engagée et militante, Yves Rocher est aujourd’hui la première marque de cosmétiques végétales. A l’instar de son slogan « Se réinventer chaque jour », la marque place l’innovation au service de la nature, et vice versa. Après une étude géobiologique, elle a donc décidé l’ouverture d’un éco-hôtel spa à Cournon, à côté de la Gacilly, dans un parc naturel préservé, s’étendant sur près de 9 hectares, et joignable par un sentier piétonnier. 29 chambres, un restaurant gastronomique caractérisé par une alimentation naturelle, locale et de saison, un salon bar, un centre de séminaire pouvant accueillir jusqu’à 80 personnes, et un Spa Végétal de 300 mètres carré : tels sont les aménagements prévus pour faire de ce lieu un centre de relaxation, dédié au bien être.
Un concept fort
Un hôtel bioclimatique où l’on utilise toutes les ressources naturelles afin de préserver l’environnement. Les objectifs d’un tel projet sont avant tout d’offrir aux clients une relation privilégiée avec la nature, un moment en parfaite adéquation avec son environnement, en mettant en avant et en pratique la démarche de développement durable, en sensibilisant les visiteurs, afin qu’ils deviennent les porte-paroles d’un mode de pensée. Le projet permettrait aussi de d’augmenter l’attractivité du tourisme dans la région, et ainsi promouvoir la création d’emplois locaux.
Le respect de l’environnement
Aucun détail n’est laissé au hasard : utilisation d’énergies renouvelables, optimisation des consommations d’eau et d’électricité, traitement des eaux usées, utilisation de matériaux naturels et locaux, d’énergie solaire, intégration des bâtiments au paysage (toitures végétalisées, chambres semi-troglodytes), et surtout, limitation des émissions de gaz à effet de serre. Les visiteurs ainsi que le personnel seront également incités à se déplacer en vélo ou dans les navettes prévues pour rejoindre les gares, afin de réduire les flux logistiques.

Adèle Larue de Charlus

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Publié par : Loïc LAMY

Publié sur :  le vide poches / création

Source : abc-luxe


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