Poverty - Blog Action Day 2008

In August 2007, Gordon Brown said when he took his office as Prime Minister of the United Kingdom in an address to the United Nations that “a new alliance to defeat poverty was imperative” and that he would do what was its power to give life. In the same speech he also spoke of a “necessary coalition of conscience and justice“. Another part of the same speech: “We cannot allow our promises that became pledges to descend into just aspirations, and then wishful thinking, and then only words that symbolize broken promises. We did not make the commitment to the Millennium Development Goals only for us to be remembered as the generation that betrayed promises rather than honoured them and undermined trust that promises can ever be kept”.

The same Gordon Brown is the first in Europe to have grasped the importance of the current crisis and to have provided concrete and immediate answers to it. One should not forget his call of 2007 precisely in the treatment that should be brought to the present crisis, because if we are not permanently attentive  to the situation, an already growing gap between North and South will definitely exist with its associated and well-known geo-political and moral collateral consequences.

En français :

Pauvreté - jour d’action des blogs 2008

En août 2007, Gordon Brown a déclaré lors de son entrée en fonction comme Premier Ministre du Royaume-Uni dans un discours adressé aux Nations Unies que “une nouvelle alliance pour vaincre la pauvreté était impérative” et qu’il allait faire ce qui était en son pouvoir pour lui donner vie. Dans ce même discours, il parle également d’une “nécessaire coalition de la conscience et la justice”.  Autre extrait de ce même discours : “Nous ne pouvons permettre que nos promesses, qui sont devenues des  engagements, puis des aspirations, puis des rêves ne soient finalement que des mots symbolisant des promesses brisées. Nous ne nous sommes pas seulement engagés envers les Objectifs du Millénaire pour qu’on se souvienne de notre génération comme étant celle qui a trahi ses promesses plutôt que de les honorer et qu’on ne soit pas celle qui ait miné la confiance dans le fait que des promesses ne puissent plus jamais être tenues”.

Le même Gordon Brown est le premier homme d’Etat en Europe à avoir saisi l’importance de la crise actuelle et à lui avoir apporté des réponses concrètes et immédiates. On ferait bien de se souvenir de son appel de 2007 précisément dans le traitement que l’on fait de la crise actuelle, car si l’on n’y prête garde en tout temps, un fossé déjà grandissant entre le Nord et le Sud va définitivement se creuser, avec les conséquences géo-politiques et morales que cela aura.