C’est clairement le message passé par la CGPME, dans son dernier communiqué de presse. La Confédération met l’accent sur la fragilisation des PME, compte tenu de la conjoncture économique actuelle et s’oppose à toute « nouvelle charge » qui « risque de se traduire de manière négative en terme d’emplois. »
A juste titre, « la CGPME souhaite que la négociation qui s’ouvre sur l’assurance chômage entérine une diminution des cotisations chômage de 0,3 % compensant ainsi la hausse de la cotisation vieillesse inscrite au PLFSS. »
Il serait temps que nos gouvernants mesurent véritablement la trop importante fiscalité qui pèse sur les entreprises. Mais avec un cumul des dettes publiques de plus de 1000 milliards d’euros, il faut bien trouver l’argent quelque part…