Vendredi, c'est Vendredi. Pour les ONG aussi...

C'est mon petit (dans l'acception affective du terme) billet de la semaine. Mon billet du dimanche, que j'aurais dû pondre vendredi. Mon billet sur Vendredi. J'ai attendu avec impatience la sortie, ce vendredi, du canard éponyme.
C'est dans un omniprésent Relais H de la gare de la Défense que j'en ai découvert et acquis le 1er numéro. Un euro cinquante. Quand même. Pour un huit pages dont le format est très allongé. Trop allongé. Pas pratique comme format. Pour ceux qui ne vivraient pas sur la même planète que moi, Vendredi est un "hebdo pas comme les autres" qui a pour ambition de vous proposer "une sélection des meilleures infos du Net". Voilà une initiative très intéressante et valorisante pour mon média de prédilection : le web. Quand le web engendre la Presse... pour le meilleur ou pour le pire ?
La ligne éditoriale de ce nouveau venu est annoncée dès l'édito de ce premier numéro et confirme ce que j'avais pu en lire - entre autre grâce à Eric. "Notre équipe de journalistes, conseillée par Philippe Labarde, créateur de La Tribune, recherchera dans des centaines de sites et de blogs l'info qui fâche, qui tape, qui change du train-train de l'information. Dans le labyrinthe du Net, on tombe sur le meilleur et sur le pire, un peu, d'ailleurs, comme à la télé ou dans le journaux (...)" précise Jacques Rosselin, directeur du 8 pages. Au final, un ton qui se rapproche de la logique du Canard enchaîné. Et parmi les premières "victimes" de ce premier numéro, on y retrouve les Restos du coeur dans un article qui remet en cause les pratiques électorales de la célèbre association fondée portée par Coluche. Suite à un article publié sur bakchich.info. A qui le tour dans le prochain numéro de Vendredi ? Vous le saurez vendredi prochain...
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