Il me semblait qu'on ne parle jamais de bouche que pour un seul animal : le cheval, la bête noble par excellence. Mais si la bouche s'étend aux volatiles à bec et plus simplement à des quadrupèdes avec des gueules, des mufles, des groins, des museaux et des gosiers, je me demande où on va.
Il voit régulièrement arriver chaque année dans ses locaux quatre ou cinq cygnes récupérés dans le canal ou dans la Marne après un choc, un affaiblissement, voire une fois, avec un hameçon dans la bouche.