sur les rives de la rivière de rubis
là où le séisme jouxte les apparences
là où le fruit du sycomore se gorge de pulpe
la solitude anémophile emprunte la voie du thuriféraire
pour disperser ses flèches de cyprès
sous les latitudes incarnates
évidences lâchées par lassitude
diadèmes d’improbabilités démenties
derniers symboles de redditions irrésistibles