A la vitesse à laquelle le titre de notre chère banque proto-nationalisée et subventionnée (Fr. 14.20 vers 9 h 40 ce matin) descend, il reste encore huit jours avant qu’elle n’ait plus qu’une valeur boursière résiduelle de Fr. 0.01.- par action.
La même vitesse à laquelle ses liquidités s’assèchent d’ailleurs.
Une pente glissante que même les plans les plus “audacieux” concoctés “en grand secret depuis l’été 2007 à Berne”, alors que tout allait bien officiellement, n’avaient pas prévue.
Même 60 milliards (dollars, euros ou francs) ne servent à rien quand le trou est double mais qu’on le cache. Même si ça n’arrange pas certains, un chute moralement justifiée.