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AVC comme agir vite pour le cerveau !

Publié le 29 octobre 2008 par Eyes

La sixième journée mondiale de l'Accident vasculaire cérébral (ou AVC) a lieu mercredi. Une occasion de plus de rappeler qu'il s'agit d'une véritable urgence médicale et que chaque minute compte. Tout témoin ou toute victime d'un tel accident (si elle le peut) doit impérativement composer le 15 sans attendre. 150.000 nouvelles personnes sont touchées, chaque année, en France. Et les spécialistes regrettent que trop peu de personnes soient capables de reconnaître une “attaque cérébrale” et donc d'appeler les secours rapidement.
Les premiers signes d'un AVC peuvent paraître tout à fait anodins : une paralysie ou un engourdissement brutal d'un côté du corps, des difficultés soudaines à parler ou à comprendre, la diminution très brutale de la vision d'un oeil… Tous ces indices doivent absolument alerter, même s'ils régressent en quelques minutes. Car, non pris en charge dans les plus brefs délais, les accidents vasculaires cérébraux peuvent avoir des conséquences graves et définitives, comme un handicap moteur plus ou moins important, des difficultés persistantes à s'exprimer, voire le décès.C'est d'autant plus regrettable qu'il existe des traitements efficaces à condition qu'ils soient administrés rapidement - idéalement dans des unités neurologiques de soins spécialisés, mais également dans des services hospitaliers d'urgence - avant que les lésions ne soient irréversibles. Or, aujourd'hui encore, les maladies vasculaires cérébrales sont la première cause de handicap en France et la première cause de décès chez les femmes. Un quart d'entre eux surviennent chez des personnes de moins de 65 ans. Les trois-quarts des victimes d'AVC gardent des séquelles et les pathologies circulatoires représentent 10,7 % des dépenses de santé. Alors il serait vraiment temps d'acquérir le réflexe de composer le 15 au moindre doute ICI

Les causes et signes sont multiples, voir LA.

Il n'y a pas d'âge pour faire des accidents vasculaires, ou accidents transitoires ,faut-il encore est pris au sérieux par le médecin traitant ou les services d'urgences.Il faut avoir le bon langage de persuasion pour faire déplacer le SAMU, tout au moins ici dans notre ville.

A leur décharge, ces services sont saturés d'appels inutiles, qui pourrait être pris en charge par un médecin généraliste.

Un conseil de mon médecin, si vous avez un déficit, prenez une photo, ou faîtes prendre une photo, car ce déficit peut disparaître très vite, et devant une absence de signes évidents, les prises en chargent ne sont pas toujours adaptées et sont lourdes de conséquences, pour le patient et la société ! Nombreuses sont les personnes handicapées  dans ce cas .


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