"Si (les recettes) rentrent moins bien que ce qui est prévu, même si ce que nous prévoyons est très prudent, s'il y a moins de croissance (...) on accepte à ce moment-là de dégrader le déficit parce que la seule façon de ne pas le faire ce serait d'augmenter les impôts et nous ne voulons pas augmenter les impôts", a-t-il déclaré sur France Inter."Et si jamais la croissance repart à un moment donné (...), à ce moment-là on revient très vite sur les déficits conjoncturels qu'on a créés", a-t-il ajouté.
Le gouvernement table sur une croissance inférieure à 1% en France en 2009.
