FIP: Le PDG de Radio-France est-il sourd?

Parole non tenue, mépris des élus, des responsables d'institutions culturelles, du milieu associatif, et des auditeurs, faute stratégique, manque de dialogue social: Jean-Paul  Cluzel persite et signe malgré les promesses une réforme de FIP qui cheche à améliorer le "régional" par plus de "national"....

Qui se moque de qui ? Que veut dire l'expression « parole donnée » ? Où commence et où finit l'hypocrisie en terme de gouvernance d'un service public ? L'expression dialogue social a-t-il encore un sens, surtout quand les syndicats défendent la qualité de l'outil de travail et non leurs intérêts particuliers ? A quoi servent des élus locaux et régionaux face à la toute puissance d'un patron de la radio d'Etat, donc nationale, donc citoyenne (en démocratie) ? Les responsables d'institutions culturelles et d'associations dynamiques méritent-ils le mépris d'un Seigneur (provisoire) d'antennes nationales ? Le jacobinisme « parisien » va-t-il longtemps encore s'exercer au détriment de la vitalité régional ?
Toutes ces questions pour un vrai faux problème soulevé par un de ces personnages qui devraient servir l'intérêt général e(quipasse aussi par les régions et les Villes)t :la direction de FIP, l'une des antennes les plus originales, les moins coûteuses et les plus agréables et utiles de notre « paysage audiovisuel » français et de Rdio-France Le Sieur Cluzel avait assuré une délégation d'élus d'Alsace menée par le député André Schneider que son projet de réduction des plages régionales de FIP allait être revu et corrigé. Dans le bon sens.