
Joie, parce qu'aucune voiture ne passe plus assurant une tranquillité certaine à la rue. Patience parce qu'un responsable technique lui a avoué qu'il faudrait « attendre deux ou trois ans avant que les travaux démarrent ». Ennui, enfin, car lorsqu'il veut de rendre à Saint-Pierre-du-Vauvray ou à la gare Val-de-Reuil, il doit emprunter un chemin détourné par la rue du 11 novembre et le centre-ville.
En allant photographier le pont interdit, j'ai pu me rendre compte que la rue de l'Abreuvoir, comme son nom l'indique, ne manquait pas d'eau. La chaussée est défoncée, les trottoirs inaccessibles eu égard aux flaques nombreuses qui jalonnent la rue. Heureusement que le plan Marschall de la municipalité va être mis en œuvre (quand et à quel prix ?). Sans lui, on s'abandonnerait au plus grand désespoir.