Newlook: le yak qui sommeille en moi

Salut les copains!

C’est Sheila.

Non je déconne, en vrai c’est Elsa. Pff je suis fofolle moi.

Toute bonne icône de weblog glacé te le dira, la mode, c’est un truc que tu t’amuses avec. La belle affaire. Moi je prends tout au mot, vous me connaissez, la mode, ça m’amuse beaucoup.

Vous aussi d’ailleurs.

Y’a qu’à voir, la veste Antik Batik turquoise on en a encore du soubresaut ventral tellement que je me suis grave amusée. Par contre en ce qui concerne la mode, on a lancé une équipe de recherches, et on a toujours rien. Je crois qu’ils ont les moonboots coincées dans une congère, ou qu’ils se sont pris du brise-glace pleine gueule, par ce que pour le moment, Tango Charlie, comme nouvelles, il a peanuts.

En attendant que la cordée nous donne des nouvelles de son ascension du mon Modus par la face nord, moi je le perds pas. Le nord.

Crémoi, crémoi pas, qu’éque part en Alaska, y’a une Marquise qu’est prête à tous les sacrifices pour lancer une mode. Même à se fader l’humour d’Emilie Albertini. Même à lire Elle (et là ça devient dur hein). Même à aller à Newlook un samedi après-midi…

Si, si.

Vous voyez que la dévotion n’a pas de limites. L’assemblée en reste (Cergy) pantoise. Les épidermes frémissent. Les visages sont tendus.

Cette fois-ci à Newlook, c’était un peu comme quand tu manges des Frosties et que tu deviens un tigre qui joue du basketball (on salue les géniaux publicitaires, d’ailleurs. Clap clap. Ola. Bis. Ter. Quelle imagination), sauf que là je suis devenue un yak.

Pas à cause du demi-quintal. Plutôt à cause de la soyeuse moumoute.

Non mais matte-moi ça, c’est total kawaï:

Le plus bel Halloween de toute ma vie (en même temps, j’en suis à l’étape “Arlette Chabaud” de ma repousse capillaire, je partais avantagée pour faire flipper toutes les Halles).

Sérieusement. Qui, mais QUI achète ce genre de choses?