Magazine Politique

PME priorité Nationale: "Sauvons les petits soldats des PME"

Publié le 03 novembre 2008 par Gilles74
Enfin  nos  dirigeants  prennent  conscience  devant  L'URGENCE  c'est  à  dire  la  montée  du  chômage  qui  risque  de  devenir  un  véritable  TSUNAMI  en  FRANCE  si  rien  n'est  immédiatement  mis  en  place  pour  sauver  tous  les  petits  soldats  des  PME.    Comme  nous  l'écrivons  depuis  très  longtemps  en  cherchant  à  en  comprendre  les  raisons, la  CRISE  financière  que  nous  connaissons  n'est  que  la  première  tempête  de  vent  qui annonce l'autre  crise  bien  plus  dure  sur  le  plan  social  la  CRISE ECONOMIQUE  que  nous  subirons cela  est  une  évidence  dès  le  début  de l'année 2009, 2010  et  ce  durant  4  ans  au  moins.    Si  rien  n'est  mis  en  place  d'urgence  pour sauver nos  PME, la  FRANCE   parcequ'elle  ne  dispose  pas  comme  tous  ses  voisins Européens  de  sociétés  assez  grandes, verra la mise  en  faillite  de  centaines  de milliers  de  PME  TPME  c'est  à  dire  les 93%  de  son  tissus  économique  essentiellement  constitué  d'entreprises  qui  comptent  moins  de 9 salariés;    L'incendie  a  débuté  depuis  des  mois  sans  aucune réaction  ni   anticipation  non pas  du  gouvernement  mais  de la  locataire  sans  doute  "intérimaire"  de BERCY.   Les  premiers  effets deviennent  visibles  avec  les 41 000  chômeurs  supplémentaires  d'août,  mais les  chiffres  catastrophiques  qui  seront publiés  jusqu'à la  fin  de l'année traduisent l'hémorragie que  subira  le  pays  en  laissant  "crever"  par  incompétence  son  tissu  de  petites  d'entreprises  qui  représentent 99%  du  total  des  entreprises Françaises  à  savoir  celles  qui  ont  moins  de 100  salariés.   Les 70 milliards  de  déficit  de notre  balance  commerciale, cumulés  aux 49 milliards  de  déficits  de nos  comptes publics , le  tout  cumulé  aux 2 ou 300 000 PME   qui déposeront   le  bilan  par  asphyxie  dans  les prochains  mois  si  ce n'est  au  cours  des  prochaines  semaines, auront  pour  conséquences la  mise  au  chômage  de  près  de 3 à 500 000 nouveaux  chômeurs  qui  eux  seront,t  directement  imputables   aux  saisonniers  de  BERCY  et à la  cohorte  de  ses  hauts  fonctionnaires  hors  échelle  lettre.   L'article  joint  ci  dessous  annonce  la  proposition  faite  par  Madame  LAGARDE  qui  devant  l'incendie  semble  faire  feu  de  tout  bois.  Sa  proposition  d'utiliser  les  surplus  de la  caisse  d'épargne  pour  venir  en  aide  aux  banques  est dénoncée  par  de nombreux  syndicats  à juste titre pour  les  raisons invoquées   par  ces  derniers.    Avec un peu  de  sang  froid,  qu'exige  la  situation  présente  mais  plus  encore  celle  qui nous  attend, nous  pouvons  nous étonner  de  voir  des  dirigeants  ou  dirigeantes  perdre  leurs  nerfs.    Si  les  PME  qui représentent   notre  seul  vivier  d'emplois  en  France  doit être  sauvées  à  tout  prix,  la solution  proposée  est  de  très  loin  la  plus  mauvaise.    Que  Madame  LAGARDE  relise  les multiples  rapports  du  SENAT  dont  celui  de 1994,  elle  y  trouvera les  seules  solutions crédibles  et(  surtout  efficaces   lien  SÉNAT  comment  aider  les  PME  en  France  rapport  et  propositions  de 1994  TOUJOURS  sans  suite  pourquoi? http://www.senat.fr/rap/r96-374/r96-3742.html   L'état  doit   IMMÉDIATEMENT  CRÉER cette  banque exclusivement  dédiée  aux  PME  ainsi  que  la  mise  en  place d'une  politique  VOLONTAIRE  d'accompagnement   de nos  PME  qui  seules nous  permettront  demain  après  le passage  non  pas  de la  crise  mais  de ses  premiers  Tsunamis  de  disposer  de  moyens  suffisants  pour  reconstruire  le  pays.   LES  PME  doivent   devenir  une  PRIORITÉ  NATIONALE     lu  sur  l'expansion

"Le Livret A au secours des banques et des PME

    PME  priorité  Nationale: © France 2

"François Fillon veut utiliser une partie des fonds du livret A pour dégripper le secteur bancaire. L’objectif est d’éviter un resserrement de l’offre du crédit, qui pourrait être fatal à nombre d'entreprises.

DOSSIER La France dans la crise

Avec le krach boursier, le livret A a la cote. L’encours des fonds déposés sur ce produit d’épargne sécurisé s’élevait à 128,1 milliards d’euros fin juillet. Soit une hausse de 9,8% sur un an. Le Livret A joue d’autant plus un rôle de valeur refuge qu’il a vu son taux de rémunération valorisé à 4%, en août. « Nous avons un surplus de 20 ou 30 milliards », a estimé mercredi Augustin de Romanet, directeur de la Caisse des dépôts et consignations.

Par les temps qui courent, cette cagnotte est précieuse. Le gouvernement souhaite l’utiliser pour soulager le problème de liquidités des banques. L’objectif, réaffirmé par Nicolas Sarkozy jeudi dernier, est de leur permettre de continuer à financer les entreprises. Car le problème, crucial, posé par la crise financière, est d’empêcher un resserrement de l’offre du crédit. Nombre de PME n’y survivraient pas.

D’après le ministère de l’économie, le « surplus » du livret A dépasse les besoins de financement du logement social, sa vocation usuelle. Bercy étudie donc la possibilité d’investir une partie de son encours dans des emprunts, à l’instar des certificats de dépôts, qui seraient émis par les banques pour une durée illimitée. Elles bénéficieraient ainsi de ressources stables à moyen terme, qui leur permettraient de continuer à financer l’économie.

Selon Augustin de Romanet, ce mécanisme présente « zéro risque sur le livret A ». « Ce qu’a proposé François Fillon ne remet aucunement en cause le fait que le livret A demeure 100% garanti pour les déposants », a-t-il assuré sur BFM. Parmi les premiers à réagir, FO ne l’entend pas de cette oreille. L’utilisation des excédents s’apparente à un « détournement de fonds », a protesté le syndicat, estimant que « les économies des Français ne devaient pas devenir l’assurance tout risque du libéralisme financier ».

En attendant, le resserrement de l’offre du crédit devient réalité. Pour prêter de l’argent, une banque a régulièrement besoin de se refinancer sur le marché interbancaire. Or sur ces marchés, les taux ne cessent de grimper depuis le début de la crise des « subprime ». Preuve que les banques, qui doutent de la qualité des actifs détenus par leurs concurrentes, ne se font plus confiance. Ainsi, mardi, L’Euribor a trois mois, le taux de référence du marché de la zone euro, est monté à 5,291%, contre 5,277% la veille. « Depuis deux ou trois semaines, on a des témoignages d’une restriction brutale », rapporte Karine Berger, directrice des études de Euler Hermes. « De plus en plus d’entreprises nous disent qu’on leur a refusé un crédit, sans d’ailleurs que ce soit lié à la taille. De grands groupes sont aussi frappés », observe-t-elle.

Cette crise du crédit pose problème dès lors que les entreprises, par ailleurs, ont vu leurs marges comprimées par l’envolée des cours des matières premières. Nombre d’entre elles arrivent à cour de trésorerie, au risque de mettre la clé sous la porte. « Les entreprises manquent de fonds propres, et elles vont en manquer encore plus dans les mois qui viennent », s’est alarmé le président du Groupe des fédérations industrielles (GFI), mercredi. Mais le problème est aussi que faute d’obtenir des prêts, les entreprises renoncent à investir. Or, « pas d’investissement aujourd’hui, pas de compétitivité demain », a averti Yvon Jacob. "


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Gilles74 12 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines