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Et si Obama était l'instrument du NOM pour mieux nous abuser ?

Publié le 04 novembre 2008 par R-Sistons

Barack Obama
wikipedia.org
Je viens de prendre connaissance de la parution de ma chère Arthenice. Je vous la soumets. Et si, au final, c'était Bush qui restait aux commandes ? Quelle géniale manipulation ! Voici un texte pour alimenter votre réflexion ! Eva  (NOM : Nouvel Ordre Mondial)

Qui est Obama ?
Un instrument au service d'un plan incroyable ???

http://lecarnavaldarthenice.blog.fr/2008/11/03/un-milliard-de-et-bush-restera-aux-commandes-4977153

En vérité, un milliard de $ ont été dépensés pour une campagne électorale dont les acteurs sont déjà l'un et l'autre OUT !
Pour ce qui est des votes, ce sont les machines et non les hommes qui vont voter
Donc, l'intérêt pour le résultat est bien peu intéressant, puisqu'il a été décidé que ce serait Obama le gagnant
Vous savez bien, ce ne sont pas les gens qui votent, sinon ceux qui comptent les votes qui sont importants
Hum étrange élections
Un Obama illustre inconnu, propulsé du jour au lendemain par de grands et puissants financiers et conseillers d'état du NOM
Un McCain inepte et un binôme affligeant avec Sarah Lapin, pardon Palin...c'est son coté chasseur qui m'a induite en erreur...sourire
Oui étrange choix !
Pourquoi avoir délibérément choisi un métisse noir dont l'acte de naissance plus que douteux, au point qu'une procédure pour inconstitutionnalité de sa candidature ait été déposée par un cabinet d'avocats ?
N'y avait il pas un métisse noir vraiment né en Amérique pour occuper ce rôle ?
Ainsi, ces messieurs du Nouvel Ordre Mondial choisissent un "gentil" garçon à l'identité vague et au certificat de naissance encore plus vague, oscillant entre Kenya, Hawaï et Indonésie, parfois chrétien parfois musulman, et ils le choisissent !!
Donc, nous ne sommes plus dans des élections mais dans une stratégie du Nouvel Ordre Mondial

Demain Obama est élu
Et moi depuis des mois, je m'entends dire : NO ELECTION !
Comme je me suis entendue dire qu'il n'y aurait pas de guerre USA versus Iran, et effectivement il n'y a rien

Donc, les américains vont élire un personnage qui ne sera jamais président, car au jour de son investiture : 20 janvier, comme l'affirme Colin Powell, des évènements inédits sont prêts pour le 21 et 22 janvier

Le juge qui a rendu son arrêt, suite à la procédure du cabinet d'avocats qui a été débouté, a déclaré qu'il fallait qu'Obama soit élu pour poursuivre l'action pour inconstitutionnalité
C'est super malin

Le peuple enthousiaste, fou d'espoir, va soit disant élire Obama
Le peuple noir, latino, précaire etc...surtout
Que se passera t'il demain quand il sera invalidé, et pire, invalidé sur
un mensonge qu'il devra payer toute sa vie ?
Combien ont établi une correspondance entre Obama et Kennedy
On va le tuer
Mais pas pareil
Oui, que se passera t'il ?
Le peuple va s'émouvoir n'est ce pas ?
Le peuple va descendre dans la rue et hurler à la tromperie
Il va piller, casser (oui, enfin les infiltrés), pleurer
Et les financiers vont jurer qu'ils n'en savaient rien et qu'ils ont été trompé
Et....
Les 35 000 GI revenus d'Irak sont prêts !
Les 600 ou 700 camps de la FEMA sont prêts !
Les cellules en béton le sont également
Et le Nouvel Ordre Mondial aussi...!

Au téléphone aujourd'hui "on" m'a informée que la CIA placerait son homme, le troisième !
En vérité tout a été construit pour amener cet homme là

Il n'y a pas d'élection, il y a une mise en scène de tacticiens
Parce que ne l'oublions pas, il n'y a ni démocratie, ni partis, ni libertés
Ce n'est pas le peuple qui vote, ce sont les financiers qui choisissent
Et ils suivent un calendrier bien précis

Obama a été choisi pour amener quelque chose qui ne s'appelle pas la démocratie
Il n'est que le jouet fabriqué pour illusionner les foules
C'est si facile aux USA
Pays qui s'est construit avec des hommes et des femmes qui fuyaient soit l'inquisition religieuse ou politique ou économique, donc, des "petits" plutôt incultes et peu instruits
Les USA sont la confection de la Franc-Maçonnerie
Haute confection, coutures faites main
Ils ont le plus profond mépris pour ces hommes et ces femmes, eux qui possèdent le savoir et la connaissance de l'histoire, des symboles, de la kabbale...etc

NO ELECTION, en ce sens, que ceux qui sont en place vont y rester
On vient de nous divertir à grand frais
Et puis élection, signifie que l'on choisit
Si l'on ne choisit pas, c'est que tout est déjà décidé

Et si Obama était l'instrument du NOM pour mieux nous abuser ?

Un directeur d'école
entre en résistance

Reçu par le canal interne CNR, voici un texte qui expose des problématiques que beaucoup de nous ignorent. Et c'est parce que ces informations sont gardées "pudiquement " sous le boisseau que la division et l' arbitraire peuvent perdurer.

Merci donc à cet enseignant dont je tais le nom. Cela ne donne que plus d' importance à la dénonciation du système absurde voire kafkaïen que sa hiérarchie le force à appliquer

demo
.

C'est décidé, j'entre en résistance !!

Je ne supporte plus l'hypocrisie des discours officiels qui se gargarisent de grandes phrases sur l'intérêt des élèves, sur l'égalité des chances, …, alors que les seuls critères sont comptables avec un arrière fond idéologique pour le moins inquiétant.

· Qui peut croire que l’intérêt des enfants a compté dans la suppression du samedi matin ?

· Qui peut croire que les deux heures de travail personnalisé pourront compenser le travail des maîtres spécialisés des RASED qu'on est en train de supprimer ?

Je ne supporte plus la malhonnêteté des effets d'annonce alors que j'assiste, chaque jour un peu plus à une entreprise systématique et planifiée de démantèlement de l'école publique.

Je ne supporte plus le harcèlement administratif des courriels qui arrivent par vagues. Lorsqu’ils ne sont pas accompagnés de pièces jointes (jusqu’à 20 dans un seul envoi !) ou de documents à aller chercher soi-même sur le site de l’académie, il s’agit en général d’injonctions (« merci de me transmettre – toujours dans l’urgence – telle information ») ou de rappels à l’ordre (« Sauf erreur ou omission je n’ai pas été destinataire de tel document »). Et je suis déchargé totalement ! J’imagine ce que doivent ressentir la grande majorité des directeurs, ceux qui n’ont qu’une journée ou pas de décharge du tout, lorsqu’ils ouvrent leur boite aux lettres électronique.

Je ne supporte plus le « flicage institutionnel », les multiples tableaux à compléter pour vérifier que nous faisons correctement notre travail, que nous ne tirons pas au flanc pour l’aide personnalisée, que nous participons bien à toutes les animations pédagogiques. J’ai eu la chance de vivre des stages de formation continue (pas beaucoup, il est vrai – mais quand même !) passionnants, stimulants, qui interrogeaient la réflexion et les pratiques, dont je suis sorti avec le sentiment d’avoir progressé. Que nous propose-t-on aujourd’hui ? Des grand-messes où l’on paraphrase du « PowerPoint » durant des heures, du formatage au nouveau discours officiel, de l’endoctrinement ! Pas étonnant dans ces conditions que les seules animations pédagogiques qui fassent le plein soient les animations sportives. Pas étonnant dans ces conditions que les IEN doivent demander aux directeurs de « susciter des candidatures ». Pas étonnant qu’il faille « fliquer » pour que les gens viennent !

Je ne supporte plus cette forme d’infantilisation et ce manque de confiance qui consistent à nous faire rédiger des projets (projet d’école, projet d’organisation de l’accompagnement éducatif, …) à corriger (pardon « à valider ») par les IEN.

Au mieux, ils nous reviennent « validés » avec une remarque du style « Le projet, dans sa formalisation et dans son contenu, est conforme aux attentes ». Bon élève !

Au pire, on nous demande de revoir notre copie.

Ou l’administration fait confiance à notre professionnalisme et je ne vois pas alors la nécessité de valider a priori notre travail ou alors nos supérieurs estiment que nous ne sommes pas capables de construire nous-mêmes nos projets, mais dans ce cas, qu’ils soient cohérents et qu’ils les rédigent eux-mêmes !

Par ailleurs, quelle illusion de contrôle et de toute puissance dans ce formalisme !!

Je ne supporte plus la répression rampante, les atteintes au droit de grève, la restriction du droit à l’information syndicale, ….

Je me refuse à terminer ma carrière dans la dépression, en plaignant les étudiants que je croise à l’école ou mes jeunes collègues qui ont encore quelques dizaines d’années à passer dans cette galère.

Le découragement conduit à la résignation et à l’inaction, la colère conduit à l’action et à la résistance.

Je choisis donc la colère et l’action !

Comment résister ?

Un principe d’abord : la principale priorité, la seule, ce sont nos élèves !

Tout le reste est secondaire sinon accessoire !

Faisons comme nos IEN, examinons toutes leurs exigences à la lumière d’une grille d’analyse toute simple :

· Est-ce que cette demande va aider mes élèves ?

· Est-ce que cette demande me permettra de mieux faire fonctionner l’école ?

· Est-ce que cette demande va servir à mes collègues dans leur travail quotidien au bénéfice des élèves ?

Si la réponse à ces questions est non, alors la demande n’est pas urgente, quels que puissent être les éventuels délais de réponse. Et si d’aventure, il n’y avait pas de réponse, il est au moins certain que cela ne portera préjudice ni aux élèves, ni aux collègues.

Comment résister ?

· Soyons positifs, affirmons-nous, ne restons pas isolés et ne nous laissons pas culpabiliser !

Après tout, l'école, c'est nous qui la faisons vivre au quotidien, et elle ne fonctionne pas si mal finalement, quoi qu'on essaie de nous faire croire. Même les enquêtes PISA et PIRLS, utilisées comme prétexte pour tout changer ne sont pas aussi catastrophiques que certains le prétendent, - les ont-ils lues ?

En tout cas, malheureusement, il est déjà certain, (ce n'est pas moi qui le dit mais la plupart des chercheurs en pédagogie) que ce ne sont pas les nouvelles orientations qui feront remonter le niveau de nos élèves.

Comment résister ?

· Ne nous laissons pas intimider

Retournons les agressions de l’administration contre elle :

· Il faut se déclarer gréviste 48 heures à l’avance !

Soit ! Alors déclarons-nous systématiquement grévistes. Cela ne nous engage à rien mais annule l’intérêt de la déclaration préalable et oblige les communes à se positionner sur le service minimum.

· Les réunions d’information syndicale doivent être prises sur le temps de travail hors présence élève (les fameux 48 heures) !

Qu’à cela ne tienne ; inscrivons nous massivement aux réunions d’information syndicale au lieu de participer aux animations pédagogiques. Elles seront certainement plus intéressantes et probablement aussi formatrices !

Comment résister ?

· Engageons-nous dans les mouvements pédagogiques.

Ils sont en train d'être étouffés par une réduction dramatique des subventions publiques et la suppression des postes de mis à disposition ou de détachés. Pourtant ce sont des lieux extraordinaires de rencontres, de réflexion et de formation.

L'ICEM (Pédagogie Freinet), l'OCCE, la Ligue de l'enseignement, les PEP, la JPA, les CEMEA et d'autres que j'oublie, ceux qu'on appelait il n'y a pas si longtemps, les œuvres complémentaires de l'école sont peut être les derniers remparts de cette Ecole qui prend l'enfant dans sa globalité pour le faire avancer, pour en faire un citoyen, face au dogmatisme et au formatage de ce qu'on cherche à nous imposer. Les trois quarts de ce qui fait ma compétence professionnelle aujourd'hui, c'est à leur contact que je les ai acquis et non dans l'Institution.

Comment résister ?

· Syndiquons-nous

J'entends trop souvent des collègues me dire que les syndicats ne servent à rien.

Mais les syndicats, c'est nous !

Si nous voulons qu'ils agissent plus, mieux, qu'ils soient plus près du terrain, à nous de les faire bouger, de les interpeller, de nous engager.

Ils n'existent que pour défendre nos droits et nos valeurs.

Mais en même temps, ils n'existent que par nos adhésions et notre soutien.

Je ne me suis jamais considéré comme un militant syndical, mais j'ai toujours été payé ma cotisation syndicale, pour une raison très simple : je n'oublie pas que des personnes sont mortes pour que nous ayons le droit, ce droit tout simple, d'être représentés et défendus face au pouvoir en place. Je n'oublie pas qu'aujourd'hui encore, dans certains pays pas éloignés, les syndicalistes sont menacés et assassinés.

La démocratie ne s'use que si l'on ne s'en sert pas !!

Un mot encore pour terminer. Une lecture rapide de mon texte pourrait faire croire que j'en veux à nos supérieurs hiérarchiques directs, les IEN !

Il n'en est rien !

Je connais la plupart des inspecteurs du département. Il y en a que je compte parmi mes amis. J'ai suffisamment discuté ou milité avec certains d'entre eux pour savoir qu'ils ne sont pas plus emballés que moi par l'évolution actuelle de l'Ecole. Comme nous, plus que nous certainement, ils sont pris entre le marteau et l'enclume, entre l'inertie du monde enseignant et les pressions de leur hiérarchie.

Je ne voudrais pas être à leur place, mais ils ont choisi et comme nous, ils ont la liberté !

· La liberté d'être de simples courroies de transmission, d'essayer de nous convaincre que tout va bien, que les nouveaux programmes ne changent pas grand-chose par rapport aux anciens, que l'on peut faire dans les 24 heures qui nous restent tout ce qui est demandé par ces fameux programmes, même la religion et les trois heures d'allemand.

· Ou la liberté de parler vrai, de défendre leurs convictions, d'être des citoyens avant d'être des fonctionnaires !

Et peut être de résister !!!

Bon courage à vous tous.

http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=708


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