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Vive la concurrence !

Publié le 04 novembre 2008 par Pascal Boutreau

Satellite Un petit truc rigolo pour commencer avec ce lien www.tatuagemdaboa.com.br Attendez que la demoiselle s'affiche entièrement, inscrivez votre prénom en minuscule puis votre surnom (pas besoin d'entrer votre email). Et lancez la machine... D'autre part, les mauvaises choses ayant aussi une fin, au revoir Josiane et rebonjour les bombasses ! La dame s'appelle Kate Bosworth, je ne sais pas trop ce qu'elle fait dans sa vie, mais entre nous, on s'en fout un peu ! (désolé pour le front révolutionnaire du "halte aux bombasses sur ce blog" mais si je ne veux pas perdre tous mes lecteurs, je me dois d'assurer un service minimum...). Pour la musique, je me répète mais une fois encore merci Philippe...

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Vendeur_20journaux
Nous voilà donc désormais avec trois quotidiens sportifs dans nos kiosques. Il faut reconnaître que ce lundi était attendu avec un peu de fébrilité... Qu'allait-on découvrir dans les colonnes de notre concurrent 10 sport ? (je ne parle que de 10 sport comme concurrent puisque Aujourd'hui Sport a été monté en trois semaines par notre groupe uniquement pour contrer le produit du groupe RMC en allant chasser sur son marché avec un journal parfaitement similaire constitué de 80% de foot et au même prix). Alors, en essayant de rester objectif (si si je peux le faire), très sincèrement, j'ai le sentiment qu'il n'y a pas de quoi être inquiet. Quand on compare les éditions de lundi, franchement, il n'y a pas photo ! Alors certes, un gros effort a été réalisé depuis quelques semaines par L'Equipe, en terme de pagination (c'est top, on a plein de place pour caser nos sujets) et de communication avec notamment une grosse campagne publicitaire. Mais la différence me semble énorme. Ce qui est génial, c'est aussi l'esprit qui anime la rédaction depuis quelques semaines. On a l'impression que tout le monde s'est réveillé et s'est dit : "ok, on nous attaque, alors on va montrer ce qu'on sait faire". Et, en ce moment on s'éclate bien avec des journaux que je trouve plutôt réussis et denses. Après, les lecteurs jugeront, mais je suis assez optimiste. Et surtout, ayant repoussé la proposition pour rejoindre Aujourd'hui Sport il y a un petit mois, j'ai le sentiment d'avoir fait le bon choix. Pourvu que ça dure...

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Sans titre
Après avoir mis en exergue le tennis masculin à travers les exploits de Tsonga lors du dernier Open de Bercy, juste un petit clin d'oeil en direction du tennis féminin avec cette photo des participantes au Masters... Je n'ai rien à en dire mais voilà, c'était juste pour me (vous) faire plaisir... Et pour voir en plus grand Jelena, Safina, Serena, Ana, Elena, Svetlana, Venus et Vera (de gauche à droite), suffit juste de cliquer sur la photo...

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Sans titre
Un peu de dada à nouveau avec le papier paru dans L'Equipe de dimanche et consacré à la montée en puissance des jeunes femmes dans le paysage du saut d'obstacles français (toujours mon penchant pour la pratique féminine...). Coup de bol, ces dames m'ont donné raison lors du Grand Prix avec cinq barragistes féminines sur 10 et avec les 3e et 4e places de Pénélope Leprévost et Eugénie Angot.

Femmes à la barre

Les cavalières françaises semblent de retour au premier plan avec toute une génération de jeunes femmes très déterminées.

Tremblez messieurs ! L’équitation, seul sport olympique où femmes et hommes concourent dans les mêmes épreuves, est depuis longtemps habituée à la présence féminine au plus haut niveau. Lors des derniers Jeux Mondiaux d’Aix-la-Chapelle en 2006, même si le dernier mot est revenu au Belge Jos Lansink, trois des quatre cavaliers qualifiés dans la finale à quatre étaient des femmes. Le classement mondial témoigne lui aussi largement de cette tendance. La France semblait jusqu’à présent éloignée de cette réalité.

Depuis Alexandra Ledermann, première cavalière championne d’Europe, en 1999 à Hickstead et médaillée de bronze olympique en 1996 à Atlanta, la gente féminine s’était faite discrète. Seule Eugénie Angot assurait l’intérim au plus haut niveau. La relève arrive.

Depuis plusieurs mois, en compagnie des Nicolas Delmotte, Julien Epaillard, Thimothée Anciaume, Kevin Staut et quelques autres pilotes prometteurs, toute une génération de jeunes femmes, toutes âgées de 25 à 30 ans, se présentent dans les concours internationaux, comme ce week-end à l’occasion de CSI***** de Lyon. Derrière Pénélope Leprévost, l’élève de Michel Robert, victorieuse la semaine dernière à Caen du Top 16 national, Alexandra Francart, Inès de Balanda, Pauline Guignery, Alexandra Paillot, Marie Pellegrin ou encore Blandine Roux affichent leurs ambitions. Plusieurs d’entre elles ont même activement participé à la campagne victorieuse de l’équipe de France dans les Coupes des Nations de Ligue 2. " C’est à l’image de la société en général, note Alexandra Francart, vingt-huit ans. La femme prend de plus en plus de place. C’est sympa, on s’entend bien, on s’entraide et on est toutes très déterminées avec la ferme intention de durer. Participer à des Coupes des Nations ou des concours comme Lyon donne vraiment envie. Moi, je me sens encore toute petite, mais c’est formidable. "

La féminisation du haut niveau, logique au regard des 80% de femmes qui constituent les 600 000 licenciés de la fédération, reste néanmoins souvent freinée par la légitime tentation pour les jeunes cavalières de se consacrer à une vie de famille et aux enfants. " Ce n’est pas toujours évident de concilier la vie de mère de famille et celle de cavalière, souligne Blandine Roux, vingt-neuf ans, de retour sur le circuit après un exil en Italie, et maman de deux jeunes enfants de trois et cinq ans. J’amène mes enfants sur les concours pour rester avec eux mais c’est vrai que ça empêche parfois d’être dans sa bulle de concentration. "

Observateur privilégié, l’entraîneur national Gilles Bertran de Balanda souligne quelques nuances entre les deux sexes. " Les qualités générales sont plus ou moins les mêmes, éclaire-t-il. Mais, quand la cavalière est vraiment déterminée, je trouve que le cheval est davantage en confiance. Dans leur façon plus soft de monter, elles transmettent cette qualité à leur monture. Néanmoins, je crois que la présence d’un homme est nécessaire à leur côté pour monter leur cheval de temps en temps et pour le remettre un peu aux ordres. " " Nous n’avons pas la même puissance qu’un homme et il est inutile de rentrer dans un rapport de force perdu d’avance, confirme Blandine Roux. Mais en revanche, nous compensons en étant davantage délicates et sensibles. " Un peu de douceur dans un monde de brutes, ça n’a jamais fait de mal…

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Lundi

Course à pied : 1 heure

Après une semaine off sous peine de rupture, reprise tout en douceur. Pas trop mal.

Mardi

Natation : 2800 m (100 ; 4 x 100 4 nages (1 nc, 1 pull, 1 jbes, 1 nc) ; 300 (50 ratt 2 tps, 50 ampl.) ; 300 1 bras/50 plaq seules ; 4 x 200 plaq-pull ampl. ; 6 x50 diminuer coups de bras chaque 50 ; 6 x 50 vit. prog. ; 300 pull respi, 3, 5 tps)


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