Magazine
Depuis que la crise a éclaté, Michèle Debonneuil n'a rien dit. Ni même écrit une tribune. Et pourtant elle bouillonne. Combien de fois en avait-elle parlé avec Xavier, son mari, de cette course folle du capitalisme financier, lui qui fut, au sein de l'état-major de la Société générale, à l'origine de la politique de développement des marchés. Aujourd'hui, dans son bureau de l'inspection des finances, à Bercy, elle répète et répète "que l'on n'a plus le droit à l'erreur", qu'il est temps de (...)
-
Aide et services à la personne
/
Article de presse / Point de vue / Discussion / Débat,
Aides et services à la personne,
Michèle Debonneuil