Notre visite à Marjolaine (2)

Voici la suite de mon compte-rendu de visite à Marjolaine, cette fois-ci un peu plus accés sur ma visite perso.

Un stand ludique : celui des vélos électriques. C’est assez sympa de pouvoir essayer les vélos pour se rendre compte des sensations liés à l’assistance électrique. On se rend bien compte que l’on en est encore aux balbutiements : vélos au design pas toujours terrible, l’installation de l’assistance ressemble plus au bricolage qu’à autre chose dans bien des cas, le poids un peu exessif, l’ergonomie d’installation/desintallation de la batterie à améliorer.

Le concept reste cependant particulièrement intéressant pour une personne qui doit par ex. faire 5km pour aller au boulot avec quelques cotes à franchir. Le vélo permettant de faire 25km/h, on peut se rendre en 1/4 d’heure au boulot, on recharge la batterie au bureau et le tour est joué. Pour un budget de 1500 à 2000€, c’est économique et écologique (sur ce point, il faudrait un engagement des fabriquants sur le coté écologique de leur processus de fabrication).

Des stands qui n’ont rien compris au commerce : nous étions venus pour les cosmétiques bio mais aussi pour déguster un peu de vin ou autres choses. Il y a certains exposants qui ne vous regardent même pas quand on est devant leur stand en regardant leur tarifs de cognac… ou alors qui sont vides alors que l’on aimerait bien taster et faire acquisition de muscat de Rivesaltes bio… et encore ceux qui vous assomment avec des prix exorbitants. Enfin, des commerçants qui pensent encore que comme ils sont bio, les clients sont conquis d’avance. Résultat, on est partis sans muscat mais avec du cognac acheté sur un autre stand.

Des adeptes du bio convaincus et convaincants : comme on peut le comprendre depuis le début du post, mon objectif était de découvrir quelques vignerons bio. J’en ai découvert un très sympatique au stand Périgord Bio, un vigneron de Bergerac, dans le bio depuis 1970 qui produit un vin très agréable et assez abordable. Une bonne discussion avec lui et quelques bouteilles de plus dans la cave.

Une bonne visite somme toute mais un salon un peu trop “mercantile” et peu informatif.