Du fight de blogueuse !

Bon, je vais écrire cet article en ultra speed car là, il est 18h28 et que je suis un peu fatiguée de la semaine et du mois passé. Et que j’ai un peu envie de m’énerver très fort après certaines personnes mais ça n’a rien à faire sur ce blog donc on passe.
Alors hier au soir, je suis allée dans un bar pour rencontrer de la blogueuse inflouente de province. Ouais, je sais, c’est antinomique mais le préjugé, c’est le mal alors commence pas à m’interrompre. Donc Camille d’Essayage est sur Paris et forcément, c’est l’occasion de prendre un verre, youhou. ET bé les Camille blogosphériques (parce que y avait BBCam aussi) sont pas des filles très très bien.

D’abord, avec Vicky (ouais, c’est ma team Vicky, contre les Camille), on n’a pas osé enlever nos pulls parce que nos T-shirt n’étaient pas fashion mais Cam d’Ess, elle avait même pas noué le ruban de son T-shirt, alors hein…
Après, elles nous ont forcé à nous coller des tatouages, j’ai un requin cartoon sur l’épaule et c’est traumatisant (je te mettrai la photo lundi parce qu’en rentrant hier soir, j’ai pas eu le courage d’allumer le pc pour transférer la photo de mon mobaïle qui n’envoie toujours pas de mails.). Elles ont été aidées par la fourbe Oopsy, dealeuse officielle de malabar périmés.
D’ailleurs, pour draguer, BBCam refile ces mêmes malabars à un mec avec un chapeau de cowboy strassé. Non mais ces provinciales alors ! Depuis quand un mec qui porte un chapeau de cow boy strassé est hétéro ? Je vous le demande !
Et puis langue de putes les nanas, vas-y que je balance quelles blogueuses parisiennes ne sont pas sympas en vrai. Comme de par hasard, c’est toujours de la blogueuse parisienne qu’est pas sympa.
Et tout à l’avenant. Alors j’ai sorti l’artillerie lourde pour écourter la soirée, j’ai parlé cul avec une vague histoire de moufle et de poil entre les dents mais j’ai raté mon effet, ça avait l’air de les intéresser. Bon, alors en désespoir de cause, j’ai joué la fille saoule qui fait coucou à la serveuse du jap dans la rue pour les forcer à aller dans ce resto. Tu parles, des sushis, ils ont jamais vu ça à Lyon. Je leur ai foutu la honte exprès en mangeant un truc au wasabi qui piquait fort, même que la serveuse s’est inquiétée et nous a enlevé le saké (là, par contre, c’est la lose). Et là, ça a pas loupé : Cam’ d’Ess’ a fait tomber son sachimi dans la sauce : AHAHAHAH, c’te lose.
Donc voilà, heureusement que j’ai bu un planteur et une margarita (certes largement partagée) pour supporter cette débauche de provincianités sinon, j’aurais pas supporté. Bon, j’avais aussi Vicky en soutien : bien que salope bretonne (c’est pas moi qui le dit, c’est google), elle est parisienne depuis presque aussi longtemps que moi donc ça passe.
Ce week-end, obligé, je vais m’acheter des macarons Ladurée pour effacer les relents de la province sur mon cerveau. Ouf !
PS : Toi aussi, t’aimerais savoir quelle blogueuse est pas sympa en vrai, hein ?
PPS : Vous trouvez pas que Camille ou Camille devraient me faire gagner la clé active crystal quand même ?