Pour continuer d’aller à contre-courant, je défends une vision un peu plus nuancée du fameux débat : la pub en ligne en est en chute.
Une étude américaine disait que la pub en ligne va atteindre son point culminant l’année prochaine.
Silence général. Tout le monde aux abris.
Mais en regardant le détail, on voit qu’il s’agit de la pub locale (la pub en région pour nous) et le marché qui ne peut pas contester un ralentissement réagit quand même :
L’année prochaine sera la plus faible croissance historiquement, mais ce sera toujours de la croissance (emarketer)
Nous anticipons un ralentissement mais ce sera toujours de la croissance positive (AKQA Inc.)
Ils regardent le marché local où les petits business vont être clairement plus impactés (emarketer)
Je suis tout à fait d’accord sur le marché local, la question est de savoir si cela peut s’appliquer au marché national (alimeter Group)
Le problème c’est que dans notre marché les prophéties auto-réalisatrices fonctionnent à plein : quand tout le monde dit que ça va mal, ça va mal.