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Friday night lights : 1.19 Ch-Ch-Ch-Ch-Changes

Publié le 20 novembre 2008 par Tao

Petite amélioration dans cet épisode mais pas de quoi me rassurer. Les Garrity sont toujours omniprésents à mon plus grand regret. Buddy croit qu’un album photo spécial ” bons moments ” va lui permettre de recoller les morceaux avec sa femme. Il prend vraiment Pam pour une cruche. La dame est en effet plus intelligente et ne va pas lui pardonner cette aventure… ni les nombreux autres. Il n’e fallait pas plus à Lyla pour péter les plombs et soupçonner Jason de la tromper également. Sur ce point elle n’a pas tout à fait tort. Street embrasse la belle blonde et s’ouvre à elle avec une facilité assez déconcertante. Mais cela peut se comprendre. Suzy l’a seulement connu dans un fauteuil et il est plus facile pour Jason de lui parler. D’autant plus que là, ses derniers rêves s’en vont en poussière car il n’est pas retenu pour les JO de Pékin. Retour à la case départ pour lui. Cela lui fait aussi remettre en question ses fiançailles avec Lyla. Et pour se défouler, elle va tout péter dans le magasin de voiture de son père. Waouh, je ne pensais pas que Lyla pouvait être aussi tarée. Elle cache bien son jeu sous ses airs de petite fille bien propre sur elle. En plus sa petite errance avec Riggins peut maintenant s’expliquer de façon logique, elle a hérité du gène de son gros porc de père. Heureusement pour le téléspectateur, elle n’a pas obtenu celui de l’embonpoint de ce dernier.

Parlant de Riggins, son histoire avec la voisine est clichée à mort. Il se la tape enfin après un épisode d’attente. C’est n’importe quoi mais je m’en fous car j’aime bien cette histoire. J’ai toujours bien aimé ce type d’intrigue comme celle de Pacey et de sa prof dans la saison 1 de Dawson. Je devrai faire une thérapie express pour savoir pourquoi j’aime ce genre d’histoire. Cette romance étant vouée à l’échec et n’ayant plus beaucoup d’épisodes au compteur de la saison, j’imagine que cela va assez vite se terminer. Aussi vite qu’elle a commencé vraisemblablement. Reste à savoir comment.

Smash a lui aussi des problèmes avec sa bonne femme mais lui au moins il est réaliste. Il constate que Waverly est folle et vu son attitude il semble déjà chercher un moyen pour s’en débarrasser. Voilà un gars malin. Ce n’est pas pour rien si Smash est l’un de mes personnages préférés de la série.

Matt est lui encore plus intelligent car il n’aura pas besoin d’élaborer de plan machiavélique pour se débarrasser de Julie, le coach Taylor fait le travail à sa place. Eric reçoit une proposition de l’université du Texas et les Taylor sont déjà tout excités à l’idée de déménager et de rafistoler une vieille maison tombant en ruine. Tout le monde sauf Julie. Pour ne pas changer l’adolescente tire la gueule car elle est amoureuse. Pitié, mais qu’est ce qu’on y connaît à l’amour à 15 ans ? N’empêche comme elle n’est plus une enfant, ses parents tentent de prendre en considération les sentiments de leur fille. Ils ne leur restent donc plus qu’à prier pour voir les deux tourtereaux romprent dans les deux semaines. Tami fait déjà la moitié du boulot, elle ne lutte plus pour éloigner Tyra mais celle ci devient sa nouvelle meilleure amie. Et on le sait tous, les ados font le contraire de ce que disent ou font leurs parents. Conclusion si Tyra devient l’amie de Tami, Julie n’aimera plus autant la rebelle habitant dans les taudis du bord de la ville. Sauf que c’est un peu l’inverse qui se produit. Tyra passant du temps avec les Taylor, elle finit par adopter leur style de vie tout propret et veut carrément aller à l’université, ce qui a le don d’énerver sa propre mère. Va donc faire du strip-tease comme ta sœur, Einstein ! Je grossis un peu le trait sous forme d’humour mais cette intrigue est intelligente et pose de bonnes questions sur les rapports entre parents et enfants. On retrouve là du grand FNL. Malheureusement tout n’est pas du même tonneau.

Finalement s’il n’y avait qu’une scène à retenir de cet épisode, je dirai celle du stade où se réunissent Street, Riggins, Smash et Saracen. Une séquence ” Texas forever ” avec pour fond musical le générique de la série. C’est très idéalisé, très américain mais j’ai trouvé ce passage très marquant et représentatif de la série car on en revient à sa base, à savoir le football. Saracen se pose des questions sur ses capacités de leader et on a droit en quelque sorte à un vrai passage de flambeau entre Street et Saracen à l’aube de la grande finale. Les 4 garçons sont également embarqué dans des histoires de cœur alambiquées les dépassant un peu. Mais tout cela devra forcément trouver une résolution au cours des 3 derniers épisodes de la saison



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