Nous vous invitons à lire l’édition d’octobre de Chronic’art et notamment les pages 25 à 27.
Bernard Hoepffner, traducteur littéraire de renom (R. Burton, R. Coover, G. Sorrentino, M. Twain,…), parle avec passion de son métier de traducteur/passeur et de la littérature américaine.
Il évoque la question des “sourciers” et “des ciblistes” et l’impact de la traduction sur la transmission d’une oeuvre littéraire auprès d’un public étranger.
A la question “vous considérez-vous comme un écrivain ?”, B. Heopffner répond “je suis un écrivain, mais pas un auteur : j’écris, si possible bien”.
Un beau témoignage, réfléchi, sur le métier, ses joies et ses limites.
(Source : N°49 - Octobre 2008 - Chronic’art)