Dans le sillage soyeux de l’éyoile filante, le murmure des crépuscules enchante l’aube satinée. Une larme déborde la mélodie délicate cascadant d’un écho à l’autre comme des grappes de lilas blancs sous les dunes australes. De joyeuses rondes s’entremêlent à la douceur des herbes folles frissonnantes d’azur. Le ciel épouse la langueur des galbes innocents, membranes de soupirs frémissantes sous l’ultra-violet des rémissions, fluides de saveurs nocturnes engorgés de calmes ouragans. Buées amoureuses en écharpe, les rubans caressent la disparition au sein ému d’une aubade enlevée.
sur un impromptu du petit prince des étoiles...