C'est ce qu'affirme Robert Broussard. L'ancien policier déclare que les faits sur la mort de Mesrine, rapportés par le film,
"sont présentés de façon mensongère et partisane sans que cela ne suscite de réactions du côté des pouvoirs publics".
"Au delà de ma seule personne c'est la police dans son ensemble qui est salie [et de] nombreux anciens collègues (...) m'ont fait part de leur ras-le-bol. De ce point de vue, nous ne pouvons que regretter le silence radio du ministère de l'Intérieur".
Il rappelle que la Cour de cassation, le 6 octobre 2006, a estimé "de façon définitive" que les policiers étaient en "légitime défense" quand Mesrine a été abattu par ses hommes à Paris. Il conteste qu'un "coup de grâce" eut été porté à Mesrine par un policier, d'une balle dans la tête comme le montre le film, une "invention", de la "diffamation".