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La face cachée de la crise financière : «sale temps sur la planète riche» !

Publié le 29 novembre 2008 par Kamizole

crise-financiere-2008-femmes-entretenues.1227985127.jpgSurtout que Margot ne soit pas avare de ses larmes ! C’est à hurler de rire… nonobstant les épreuves qui ne nous épargneront guère sur la «planète pauvre» - itou pour les classes moyennes qui n’en peuvent mais - et l’angoisse des lendemains qui broiera le cœur de beaucoup d’entre nous : chômage, pouvoir d’achat en berne, etc… sans oublier les plus démunis d’entre les pauvres : les SDF qui meurent chaque jour dans la froidure d’un hiver précoce.

Sale temps pour les maîtresses et les amants des multimillionnaires
LE MONDE | 27.11.08 © La face cachée de la crise financière : «sale temps sur la planète riche» !

Mais Claire Gatinois nous apprend dans un article du Monde que rien ne va plus sur la «Planète riche» ! Et que les multimillionnaires qui ont des relations extra-conjugales sont obligés de se serrer la ceinture, avec des répercussions sur les largesses dont ils gratifiaient jusqu’à présent leurs maîtresses ou leurs amants : cadeaux, bijoux, dîners dans les grands restaurants, balades en jet privé et autres caprices.

Toutefois, cette sérieuse étude - réalisée en marge d’une enquête sur les comportements d’achat d’une clientèle internationale de jets privés face à la crise, à la tête d’une fortune d’au moins 20 millions de dollars (15,5 millions d’euros) - apporte de quoi réjouir la féministe Kamizole : elle révèle que les femmes sondées (un tiers de l’échantillon) restent, en dépit de la crise, plus généreuses que leurs homologues masculins.

En effet, Les hommes d’affaire se montreraient plus goujats dans leur stratégie pour réduire les «dépenses inutiles» (sic !) : parmi ceux qui entretiennent leurs petites amies, ils sont 12 % à envisager de mettre fin à cette relation «pour des raisons financières» et plus la relation serait ancienne, plus elle serait en péril !

Alors que les femmes sont nettement moins nombreuses que les hommes à envisager de réduire les dépenses en faveur de leurs amants (15,4 % contre 86,5 %) – la moitié envisageant même de les augmenter ! – elles ne sont que 1,6 % à projeter une rupture pour soulager leur budget.

Russ Alan Prince, président de Prince & Associates - à l’origine de l’étude - qui explique : «Les riches sont touchés par la crise. Certes, ils sont loin d’être au bord de la faillite, mais ils voient la Bourse faire du yo-yo. L’avenir est tellement incertain ; ils sont nerveux, plus prudents» avoue néanmoins ne pas très bien comprendre la logique féminine.

Pourtant, la solution de l’énigme semble donnée par la sociologue Jolanta Bak pour laquelle la relation adultère masculine des milliardaires semble plutôt une question de «faire valoir» - attribut de leur fortune, de leur statut - alors que du côté féminin elle serait plutôt vécue sur le mode émotionnel, comme une sorte de refuge contre les soucis de la gestion de leur patrimoine.

Pour résumer : «mieux vaut être un gigolo qu’une maîtresse» !


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