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Tous ensemble! - 1ère partie

Publié le 05 novembre 2008 par Cs

Toutes les technologies implémentées dans un produit tel Azure sont unis dans un même objectif, un même défis et fondamentalement autour d’une même table ronde tels les chevaliers de Sir Arthur dans leur quête métaphysique du Saint Graal, cette table ronde portera ainsi le nom du Warp Human Human Resolution, à savoir la méthode de traitement du signal reposant sur une largeur de filtres de même nature que celle des bandes critiques de la cochlée, d’où le côté « humain » du traitement du signal. Le but des aides auditives est d’abord d’amplifier les sons afin de compenser les dysfonctions liées à une perte auditive, appelée dans le passé « surdité ». Cependant, l’aspect le plus important d’une aide auditive est la manière par laquelle cette tâche est accomplie. L’amplification, ou la compression, peut être décrite dans des termes d’audioprothésiste et d’ingénieur. Selon le point de vue audiologique, on se penchera sur les paramètres de compression tels le gain ou les ratios de compression, ses niveaux et constantes de temps. Les combinaisons des paramètres de compression permettent d’atteindre un objectif particulier tels que le Control de Volume Automatique ou la WDRC. Du point de vue d’un ingénieur, nous décrirons comment l’amplification est obtenue en comprenant l’architecture du système, les techniques de filtrage, et la structure des bandes. Bien que la plupart des aides auditives utilisent des schémas de compression similaires, il y a des différences radicales dans les techniques de traitement du signal qu’ils emploient. Ces techniques deviennent de plus en plus des déterminants importants de la qualité sonore et de la performance de l’aide auditive.

Une technique innovante a été introduite par ReSound au travers du Warp. Cette technique fournit une résolution fréquentielle logarithmique dans les hautes fréquences. La fonction mathématique définit comment les fréquences sont représentées sur une échelle logarithmique correspondant en réalité aux bandes critiques de la cochlée, c'est-à-dire selon l’échelle Bark utilisées pour caractériser ces dernières (ZWICKER et al, 1957). La plupart des techniques de traitement du signal utilisées dans l’analyse fréquentielle utilisent des largeurs de bandes de même valeurs, c’est à dire constantes, ce qui est faux par nature, avec un espacement donc uniforme, et ainsi non propre du fait de l’espacement non uniforme des filtres auditifs de l’oreille humaine.

Fig 11.JPG
Figure 13: Représentation en haut des bandes scritiques de la cochlée et en bas des bandes d'analyse fréquentielle du système WARP.

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