J’aurais du rester chez O. et garder mon ancien téléphone

Mon nouveau téléphone me donne bien du fil à retordre. J’ai failli le jeter rageusement contre un mur. Ce qui me retient? Presque rien. J’ai deux regrets principaux. 1. Mon changement d’opérateur. 2. Le choix d’un HTC Diamond.

1. L’opérateur. Je souscris un forfait A. Il me facture un forfait B, plus onéreux. Le service client est certes charmant mais j’ai quelques doutes sur ses compétences. Ah bon, votre premier mois est offert? Oui c’est écrit dans mon contrat et vous en faite une pub phénoménale. Je déteste être nouveau client et me sentir en terrain ennemi. Deux problèmes de saisi informatique en 20 minutes de conversation et 3 conseillers plus tard, mon forfait ne sera réajusté que le mois prochain et personne n’est capable de m’expliquer pourquoi j’ai basculé sur un autre forfait, qui n’est, apparemment adapté qu’à un seul type d’appareil… et pas le mien.

2. Le téléphone. Très beau, mais d’une autonomie ridicule. Je ne tiens pas une journée complète sans le recharger. Du coup, j’ai commandé une autre batterie, qui cette fois-ci devrait tenir la route. Hum. Pour le customiser, j’ai passé quelques heures sur les forums, mais n’étant ni spécialiste des changements de ROM ou des .cab, j’ai mis un temps fou pour tout comprendre. La version black que j’ai installée me correspond plus, tous les logiciels ne fonctionnent pas encore complètement correctement, mais c’est peut-être parce que je les ai bidouillés dans tous les sens. Sans compter les bugs sur Windows mobile et le réseau qui ne passe pas chez mes parent, qui je le précise n’habitent pas non plus dans une caverne.

Je voulais l’échanger contre un Blackberry Storm, mais apparemment, j’ai dépassé les 7 jours de délais d’échange ou remboursement (apparemment parce que le conseiller n’en était pas sûr…)

Je serais complètement satisfaite quand j’arriverais à faire fonctionner Gtalk sur cette bécane.

Conclusion. Au bout d’une semaine, mon nouvel opérateur me fatigue déjà et mon téléphone me rend folle. Et pas de joie.

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