Le Brésil qui possède la plus grande forêt tropicale du monde, surnommée à juste titre « le poumon de la planète » accepte de se fixer des objectifs précis de réduction des déboisements, selon un plan annoncé par son président Lula da Silva et qui sera présenté à par son ministre de l’Environnement dans ler cadre de la conférence de l’ONU sur le changement climatique à Poznan.
En se fixant comme objectif de réduire la déforestation de 70% d’ici 2018, le plan prévoit une réduction des émissions dans l’atmosphère de 4,8 milliards de tonnes de CO2, ce qui est plus important, selon le ministre brésilien de l’Environnement que les efforts que veulent faire tous les pays riches.
C’est la raison qui laisse espérer au président du Brésil l’augmentation du nombre des contribuables au Fonds pour l’Amazonie, destiné à recevoir des dons en argent du monde pour lutter contre la déforestation.