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Jean-Louis Brochen, mari de Martine Aubry

Publié le 09 décembre 2008 par Micheljanva

B Inscrit au barreau de Lille depuis 1970, spécialisé en droit pénal et en droit social, Jean-Louis Brochen a défendu en 1993 les 17 lycéennes voilées exclues par le lycée Faidherbe. En 2001, aux assises de Douai, il défend l'un des trois membres du gang de Roubaix qui a survécu. Il a été adjoint à la culture à la mairie de Lille auprès de Pierre Mauroy. Il a épousé la fille de Jacques Delors (qui a gardé le nom de son premier mari, Xavier Aubry, dont elle a divorcé), le 20 mars 2004. Il est régulièrement l'avocat de la municipalité. Il est surnommé “l’avocat des islamistes”.


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LES COMMENTAIRES (9)

Par beriks
posté le 26 août à 20:04
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Pour votre information celui qui a mis la Côte d'Ivboire à feu et à sang ce n'est pas Gbagbo mais NICOLAS Sarkozy. C'est lui qui est venu faire la guerre en envoyant ses criminels tués les ivoiriens et imposer une dictature sanguinaire (Ouattara un genocidaire, 1000 personnes tuées à Duekoué par ses soldats sur base ethnique)

Par Find_First
posté le 23 juin à 21:13
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Quel déchaînement de conneries sur le mari de Martine Aubry. Avocat, il fait son métier et a défendu des islamistes dans 4 affaires. Et Collard(FN) qui a défendu des kidnappeurs d'enfants, il est pour la pédophilie ? Il défend même Gbagbo qui a mis son pays à feu et à sang...

@christie, reprends tes cachets et va faire dodo, c'est l'heure. Quand on ne réfléchit pas plus que ça, faut se taire, on a l'air moins con...

Par tchca
posté le 03 avril à 18:28
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BRAVO CRISTI ET BRADA LE PS EMPLOIS TOUT LES MOYENS POUR AVOIR LE POUVOIR EN RUINENT NOTRE FRANCE NE JAMAIS VOTER POUR LE PS TRIN**

Par chat teigne
posté le 16 mars à 13:33
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C'est un tsunami: le Front national écrase tout,confond tout,sème la méfiance,surfe sur l'émotion.Aujourd'hui, nous avons le temps de réfléchir au lieu de chercher à attaquer les gens sur leur nom, leur fonction. Un bon avocat défend toutes les causes;il y a eu des avocats pour les accusés de Nuremberg. Une divorcée a le droit de garder son nom...au moins pour ses enfants.

Par L'auteur est le site Nonfiction.fr
posté le 19 juillet à 00:13
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Il y a quelques mois, le président de la République lançait une formule, pour le moins malheureuse, en comparant le couple bling-bling qu’il formait avec Carla Bruni à "Martine et Martin". Mais quelle mouche a bien pu piquer Nicolas Sarkozy ? Car le mari de Martine Aubry ne s’appelle pas Martin, mais Jean-Louis Brochen. Une figure peu connue du grand public. Portrait.

Assis à la terrasse d’un café au festival d’Avignon, où il accompagne son épouse, Jean-Louis Brochen, est calme, mesuré, presque trop sage. Avec Martine Aubry, il forme un couple d’apparence contradictoire. Les contraires s’assemblent ? Il y a pourtant plus de ressemblances, plus de points communs qu’il n’y paraît entre la maire de Lille et l’ancien bâtonnier. Elle est rapide – trop parfois. Il est calme – trop peut-être. Mais ils partagent une histoire, des valeurs de gauche, un sens de la justice et de la défense des plus démunis, une passion pour la culture. Ils sont mariés depuis mars 2004.

Bienvenue en Provence

Né à Roubaix le 7 juin 1944, d’un père breton et d’une mère nordiste, Jean-Louis Brochen est un homme du Nord. Il est grand, solide comme un roc, les cheveux en bataille : à la terrasse du café où on l’interroge à Avignon, on a l’impression d’être dans un remake de Bienvenue chez les Ch’tis à l’envers : Bèn-vengudo en Prouvènço.

Ayant grandi dans une famille catholique, avec les communions et la confirmation qui vont avec, Jean-Louis Brochen a étudié au lycée de Roubaix puis de Tourcoing, passant ce qu’on appelait encore le "bac philo" en 1964. Entre temps, il obtient une bourse de l’American Field Service, association militant pour la compréhension entre les peuples, qui lui permet de passer une année aux Etats-Unis, dans l’Oklahoma. Là, il découvre le Midwest, ses grands espaces, le sens de la liberté, ce côté "don’t-fence-me-in" (ne m’enfermez pas) du "wild west" et des Midwesterners. En même temps, dans la petite ville de Ponca City, du nom d’une tribu indienne, encore nombreuse dans la région, où il vit, il souffre un peu d’un monde sans art, ni vie culturelle urbaine. Brochen se souvient : "Je me suis retrouvé plongé dans l’Amérique profonde vivant parfois comme un personnage de film de John Ford".

De retour en France, il entre à la faculté de droit de Lille, est professeur d'anglais à Villeneuve d'Ascq ou à l'école Berlitz de Lille. Il est moniteur de Travaux dirigés en relations internationales à la faculté de droit de Lille. Il prête le serment d'avocat le 3 novembre 1969.

Il ne commencera à exercer qu’en juillet 1971, après deux années de service militaire au titre de la Coopération, au Cameroun anglophone, en tant qu’enseignant du français langue étrangère (FLE).

Pourquoi a-t-il choisi le métier d’avocat ? A la fois par fidélité et par rupture. La tradition familiale bien sûr, son père, le bâtonnier Yves Brochen, étant l’un des avocats réputés de Lille et, à sa mort précoce, en 1971, le fils, Jean-Louis, reprend le cabinet paternel. Par rupture aussi, car le jeune avocat veut s’engager à gauche, militer autant qu’il veut plaider.

Ainsi, il est tour à tour Secrétaire de la Conférence du Stage (1973), président de l’Union des Jeunes Avocats de Lille (1973-1974), et devient surtout, au niveau national, secrétaire général puis président du SAF – le célèbre Syndicat des Avocats de France (1981-1983).

Cet engagement au sein de sa profession, Jean-Louis Brochen le poursuit sur tous les fronts : dans les prisons, au côté de ses clients détenus, mais il agit aussi au sein de la Commission de Surveillance des Prisons de Loos ; sur le terrain de la délinquance, il est membre du premier Conseil National de Prévention de la Délinquance ; à l’international, il est vice-président de l’association Juristes sans frontières. A ce titre, on le retrouve en Bosnie, où il mène une mission humanitaire de juristes pendant la guerre, ou encore au Rwanda où il participe avec Médecins du Monde au rapatriement sanitaire de vingt enfants victimes du génocide, dans le cadre de la chaîne de l’espoir.

Par rollon
posté le 03 juillet à 22:02
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NON AU PS. Rappelez-vous les paroles de Fadela Amara (elle sait de quoi, elle parle)!. Elle disait Martine Aubry vendu aux barbus!

Par christie
posté le 03 juin à 21:22
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chaque jour, nos politiques, nous étonnent, hormis leurs revenus fastueux.......mais avec l'islam.....là......voilà facile donc à comprendre qu'ils n'aiment pas les riches, donc eux même, bizarre ces politiques....ils veulent être les seuls riches en france....ils ont réussis, les riches, à part nos politiques, quittent la france, ils ont raison, ils comprennent à quoi servent leurs impots, les immigrés arrivent alors en nombre pour la france c'est le paradis....les aides sociales explosent, les caisses se vident, les français pénalisés, sécu, impôts, taxes, il faut bien entretenir tout ce beau monde....nos jeunes n'ont plus d'espoir, de rien, de retraite.....la classe moyenne souffre.....nos retraités ont dû mal à joindre les deux bouts à se faire soigner.....belle france....que tous les immigrés se rendent à lille, là, ils seront dans une véritable paradis......c'est la meilleure destination pour eux....encore belle france....

Par rosalie
posté le 20 janvier à 17:53
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Martine Aubry est dangereuse pour la France, il ne faut pas voter pour elle.

Par fafa
posté le 26 octobre à 16:17
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pas de soucis pour Martine à la mosquée elle a un gout beaucoup plus prononcé pour les bars...

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