La question des droits d’auteurs est on ne peut plus délicate en ces temps de transition dans l’ère numérique. L’histoire se répète et pourtant le système se retrouve une fois de plus pris de court. L’imprimerie a mis les moines au chômage technique, les cassettes audios ont fait hurlé la SACEM et ses compères, le CDROM a rendu le clonage de données facilement échangeable, puis les réseaux ont pris le relais. En attendant le tout wifi qui devrait, vraisemblablement transformer votre poche en rayon Fnac, les DRM se meurent et la licence Creative Commons tient bon.
Tout les contrats disponibles de la Creative Commons sont résumés ici. Vous les avez peut être croisés sur Flickr (pour la photo) ou sur Dailymotion (pour la vidéo).
La première fois que j’en ai entendu parlé c’était lors de la sortie du premier film en images de synthèse réalisés en commun par des membres de la communauté du logiciel libre Blender (logiciel qui comparativement à 3DSmax est ce que The Gimp est à Photshop ou Inskape à Illustrator).
Ce premier court métrage open source “Elephants Dream” a démontré que des amateurs bénévoles pouvaient réaliser un film de synthèse de qualité professionnelle.
Le dernier en date, Big Buck Bunny met la barre encore plus haut. La chaine de production est rodée et ça se ressent dans la qualité de la vidéo.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble