Les Dernières Nouvelles d’Alsace de ce jour évoquent le choix de Stéphane Gayet de renoncer à l’étiquette « Hoenheim Demain » et précisent que je n’ai bien entendu « fait aucune pression sur l'un ou l'autre des conseillers municipaux du défunt groupe HoenheimDemain pour qu'ils démissionnent et lui laissent leur place ».
En acceptant la 3ème place de cette liste de rassemblement, je marquais alors ma volonté de tracer une nouvelle voie, libérée et ouverte sur la vie de la cité plus que sur les accords politiciens. Une voie vers le renouveau et l'indépendance.
En fait, nous avions réussi et les 16% de voix rassemblés sur un contrat d'engagement l'ont prouvé. J'y reste, moi, fidèle.
Aujourd'hui, je sors deux secondes de mon silence pour dire qu’il est cependant une phrase que je ne peux accepter pour l'avoir lu sur un blog que j'ai moi-même construit. Je fais cela par respect pour l’ensemble des colistiers d’hier et qui seront pour la plupart ceux de demain. Je ne peux en effet accepter que l’on puisse écrire, sur un mode interrogatif : « Ne dit-on pas qu’il vaut mieux être seul que mal accompagné ? »
Car enfin, la constitution de la liste « Hoenheim Demain » a été le fruit de l’apport de candidates et candidates d’Albert Wirtz, de Marielle Geoffroy, de Jacques Ohlmann, de Jean Luc Ulrich, et Joëlle Sigrist, de moi-même et de personne d’autre.
Et tous nos colistiers, venus de tous les horizons politiques, méritent le respect le plus élémentaire. Il en va de même des engagements de campagne pris à l'époque tous ensemble.
C’est cette conception franche et loyale de la vie locale qui me pousse aujourd'hui à souhaiter longue vie à Hoenheim à Venir et à Marielle Geoffroy ! Mon souci de l’honneur, du respect de la parole donnée me pousse aujourd’hui à faire cette précision. Je laisse à chacun le soin d’en tirer les conclusions et d’agir en conscience.
Jeu de briques
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Pacman
Bubble