Confirmant les propos du Cardinal Renato Martino, Benoît XVI a déclaré, lors d'un concert au Vatican en l'honneur du 60e anniversaire de l'adoption de la déclaration universelle des droits de l'homme, qu'"il reste encore un long chemin à faire" pour qu'elle soit pleinement respectée, évoquant "le droit à la vie, à la liberté, à la sécurité", ainsi que "le respect de l'égalité entre tous et de la dignité de chacun".
"la loi naturelle, inscrite par Dieu dans la conscience humaine, est un dénominateur commun à tous les hommes et à tous les peuples".
Les droits de l'homme sont
"en dernière instance fondés en Dieu créateur qui a donné à chacun intelligence et liberté [et] si l'on fait abstraction de cette solide base éthique, ils demeurent fragiles parce que privés d'une base solide".