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Un jour, je ne serais pas...

Publié le 12 décembre 2008 par Angie21
7776640_p.jpg Il y a les métiers auxquels j'ai rêvé et qui ont été lâchement brisés, pour la plupart à cause de raisons totalement indépendantes de ma volonté et puis il y a les métiers pour lesquels je n'ai développé ou possédé aucune prédisposition. Pourtant, c'est pas faute d'avoir essay, d'y penser au moins une fois.
Comme par exemple, astrophysicienne. La première fois que j'ai vu Stargate, le film, je serais capable de vous dire que Kurt Russel était d'un sex apeal à couper le souffle et que James Spader possédait un charme fou, à l'époque. Mais si vous me demandez ce que sont le vortex, l'espace temps et le concept des années lumières, pour moi c'est de l'arménien de la Mangolie du Sud. Et la série dérivée n'y change rien. Les seuls astres qui trouvent grâce à mes yeux sont ceux de mon horoscope journalier.
Tiens médecin. Ah quel beau métier, on fait le serment d'Hippocrate et hop, on fait partie du club des sauveurs du monde avec force sergingues et cathéters. Alors lorsqu'une série comme Urgences a vu le jour, vous pensez bien que pour moi c'était du pain béni... Jusqu'à l'arrivée du Docteur Doug Ross, Monsieur Nespresso himself dans la vraie vie. Vous imaginez bien que mon désamour pour la médecine venait de commencer au moment même où mon amour pour George Clooney venait de naître. Mais comme excuse officielle, on préférera dire que la plus petite goutte de sang me fait défaillir telle la Castafiore lorsqu'on lui vole ses bijoux.
Et puis il y a le métier d'actrice. Les feux de la rampe, les Oscars, les belles robes, les citations comme la It girl du moment, tout ça. Ouaip. Mais jouer la comédie et entrer dans un personnage c'est comme savoir très bien mentir. Et moi, je ne sais pas le faire correctement et on finit toujours par savoir que je viens de raconter le plus grand bobard de la semaine. Je me contente donc de dire la vérité et file ressortir du carton ma statuette en faux or de l'Oscar de la super amie pour faire croire qu'il fut un temps, j'étais une super menteuse actrice.
Ou encore fleuriste, pépiniériste ou toute autre activité qui nécessite la main verte et l'amour des plantes. Ce n'est pas que moi je n'aime pas les fleurs, si, si, je les adore et encore plus lorsqu'elles sont livrées au bureau en plein après midi avec une petite carte qui me fera sourire Pépsodent-alement. Il fut même un temps pas si lointain où j'avais des plantes dans mon salon. J'avais même donné des noms à toute cette verdure. Mais j'oubliais systèmatiquement de l'arroser, la verdure, pas le salon. Alors forcèment, ni Pépito, ni Pablo et encore moins Seb, n'ont tenu le coup.   Vous voyez bien que ce n'est pas ma faute...  

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