J'avais déjà évoqué cette affaire, mais elle semble bien close à présent : la Cour de justice européenne a rejeté le pourvoi des éditions Albert-René au sujet de la confusion entre la marque Obélix et les produits Mobilix d'Orange.
En octobre 2005, le Tribunal de Première instance de la CEJ avait jugé que les éditeurs d'Astérix n'avaient pas de "droit exclusif" sur le suffixe "ix" et que d'autres noms de marques se terminant ainsi pouvaient donc être déposés.
Il avait estimé à l'époque qu'il n'existait "qu'une très faible similitude visuelle" entre Mobilix et Obélix, malgré "une certaine similitude phonétique".
Or, fait étrange, Albert Uderzo et Anne Goscinny ont vendu ce mois-ci leurs parts dans la société Albert-René à Hachette qui possédait…