
Car, dans l'histoire que construit le ministre de l'Education nationale, les enseignants sont plus des témoins que des protagonistes. Ils peuvent commenter, critiquer, mais ils ne font pas vraiment partie de l'histoire.
Le ministre de l'Education semble être en plein travail. Il construit son histoire, la plus classique: celle du conte de fées.
Voici le début de ma deuxième chronique "Storytelling et politique" sur Lepost.fr.
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