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Farcebook

Publié le 27 décembre 2008 par François Collette

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Non, il n’y a pas de faute d’orthographe dans le titre. Facebook est bien une farce, un monument de manipulation, un miroir aux alouettes où il est bon de tomber parce que … tout le monde - ou presque - le fait. C’est ni plus ni moins un effet de mode très très fashion comme dirait Nanard (Tapie). Oui, c’est ça, c’est fashion !

Avoir ou retrouver des “amis” partout sur la planète ! Quel bonheur ! Quelle formidable idée ! Quelle belle avancée dans la valorisation personnelle ! Tout ça en quelques clics et, bien sûr, entièrement gratuit. La belle affaire ! On retrouve un copain, une copine puis on est noyé par leurs propres « amis » et relations qu’on ne connaît bien souvent pas. Et ensuite ? Et bien, quelques petits coucous par-ci par-là pour justifier l’inscription puis plus rien. Rien. Rien de rien. Sauf que vous êtes maintenant fichés, cannibalisés, espionnés. Big Brother. Tout ça pour ça. Sans compter que vous avez peut-être eu la faiblesse de devenir accro. Ce qui n’est pas beaucoup mieux.

Cette pseudo “philosophie” de Facebook, c’est du bluff, du superficiel. N’oublions pas que Facebook est une entreprise commerciale qui réalise de plantureux profits grâce à vous les inscrits. La publicité en hyperliens, ça paye. Des milliers de petits internautes tombent chaque jour dans le panneau. Les moutons de l’internet.

A chacun ses goûts, ses désirs et ses attentes, bien sûr. C’est vrai qu’il y a bien pire que ça dans la vie.

Vous l’aurez compris, ceci est un billet de très mauvaise humeur. Maintenant vous avez du grain à moudre. Ne vous gênez surtout pas, allez-y. J’accepte toutes les remarques. Promis, juré.

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