Le document présente également succinctement certaines conclusions des études réalisées:
- la consommation de drogue dans l'UE reste élevée. Les données disponibles indiquent que la consommation d'héroïne, de cannabis et de drogues de synthèse s'est stabilisée ou recule, mais que la consommation de cocaïne augmente dans un certain nombre d'États membres.
- l'évaluation montre également une convergence des politiques des États membres en matière de drogue,ainsi qu'une tendance à soutenir celles-ci au moyen de plans d'action
- en ce qui concerne la coopération internationale, les positions au sein de l'UE font l'objet d'une meilleure coordination dans les forums internationaux consacrés à la drogue, par exemple la Commission des stupéfiants des Nations unies.
Le nouveau Plan vise donc à combler ces lacunes, notamment en exploitant pleinement les capacités d'Europol et d'autres structures européennes pour réduire l'offre de drogue, en pleine explosion. De manière générale, mieux comprendre tous les aspects de la consommation de drogue en coordonnant davantage et mieux les travaux de recherche et en améliorant la qualité et la quantité des données, y compris les données relatives à la criminalité liée à la drogue et celles qui concernent le fonctionnement du marché des drogues illicites du côté de l'offre.