Surnommé « the mother of all fears », l’exercice de la prise de parole en public est devenu l’acte majeur de sociétés communicantes. On effectue ainsi des présentations, des bilans, on annonce des décisions, on présente des politiques. Managers, directeurs, chefs de services, élus locaux n’échappe pas à un exercice sensible qui ne doit pas s’improviser.
La prise de parole en public et son caractère naturellement anxiogène repose sur le propre regard que l’on porte sur soi (peur de soi), sur l’enjeu (peur de ne pas être à la haute) et sur le regard des autres (peur du jugement). Pour un peu, on en oublie généralement l’objectif de l’exercice (la transmission d’un contenu, d’une information) pour rajouter du stress et le rendre encore plus complexe, donc difficile.
Aujourd’hui, on n’hésite pas à entrainer des cadres, soit par le recours à des conseils, y compris jusqu’aux acteurs de théâtre afin de permettre au futur orateur de tendre vers la perfection, mais surtout de se rassurer.
Après, on convient de trouver l’équilibre entre communication verbale et non-verbale. Les spécialistes s’accordent pour dire que l’influence du langage du corps est alors entre 30 et 50 %, celle de la voix entre 15 et 35 % et le contenu entre 7 et 53 %. Le reste se travaille, s’organise, se prépare, s’anticipe et se domine.
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