Ces fonds serviront à couvrir les "besoins de trésorerie à court terme" des constructeurs français.
En contrepartie l'Etat souhaite différents engagements:
- aucune fermeture d'usine en France,
- la suppression des bonus et des dividendes pour les dirigeants et actionnaires.
L'enveloppe financière pourrait permettre à l'état de prêter de l'argent aux constructeurs comme ce fut le cas avec les banques qui ont reçu 10,5 milliards d'euros à un taux d'intérêt moyen de 8,5%.
Notons que dans ce cas la commission européenne doit donner son aval.